Dans une fête foraine, un mystérieux docteur prédit un avenir tragique à un jeune étudiant...

Six savants, membres du Club des Astronomes, entreprennent une expédition qui doit les conduire sur la lune. C’est le synopsis du premier film de science fiction de l’histoire, « Le Voyage dans la Lune » de Georges Méliès. Ce documentaire raconte l'incroyable aventure du siècle et le défi de la restauration la plus complexe de l'histoire du cinéma.

Harold est venu à Los Angeles pour faire fortune. Mais il stagne dans son job de petit vendeur. Il a une idée : proposer à son patron de faire de la publicité au magasin en faisant escalader la façade par un ami acrobate…

Avec la force d’une analyse toujours très argumentée et documentée, le célèbre linguiste américain Noam Chomsky s’exprime sur les mécanismes de concentration des richesses, avec une lucidité contagieuse. Il expose clairement les principes qui nous ont amenés à des inégalités sans précédent, retraçant un demi-siècle de politiques conçues pour favoriser les plus riches. Une boite à outils pour comprendre le Pouvoir et gagner beaucoup de temps.

Dans les contrées lointaines des États-Unis, persistent, de génération en génération, de tragiques luttes ancestrales. Ainsi en est-il des Canfield et des McKay. Quand le jeune Willie McKay, après avoir grandi, sain et sauf, à New York, revient au pays, charmé puis invité par sa compagne de voyage, il ne se doute pas que celle-ci n’est autre que la plus jeune des filles Canfield et qu’il vient donc de se jeter dans la gueule du loup !

Tout commence sur un balcon où un homme aiguise un rasoir… La suite est une série de métamorphoses surréalistes. Un homme sectionne l’œil d'une jeune fille. Un nuage passe devant la lune. Huit ans après. Un cycliste tombe accidenté dans la rue. La jeune fille lui porte secours et l'embrasse…

Un petit hérisson s'égare dans le brouillard. Tous les objets et êtres connus, une feuille, un arbre, un brin d'herbe deviennent mystérieux, inattendus, extrêmement beaux.

En Angleterre, à la fin du XVIIe siècle, le roi Jacques se débarrasse de son ennemi, le Lord Clancharlie, et vend son jeune fils, Gwynplaine, aux trafiquants d'enfants qui le défigurent. Le garçon s'enfuit et sauve du froid un bébé aveugle, Dea. Tous les deux sont recueillis par Ursus, un forain. Gwynplaine, baptisé « L'Homme qui rit », devient un célèbre comédien ambulant. Le bouffon Barkilphedro découvre son ascendance noble et la dévoile à la reine Anne, qui a succédé au roi Jacques.

Veuve d'âge mur, Cary Scott mène une vie terne au sein de la communauté bourgeoise d'une petite ville de Nouvelle-Angleterre. Ses grands enfants voudraient lui faire épouser un homme de son âge et de sa condition, mais son cœur la pousse vers son jardinier bien plus jeune qu'elle, de condition modeste mais farouchement indépendant.

Le film est librement inspiré de la pièce de théâtre éponyme de Jules Verne et Adolphe d'Ennery.

One of the greatest of black art pictures. The conjurer appears before the audience, with his head in its proper place. He then removes his head, and throwing it in the air, it appears on the table opposite another head, and both detached heads sing in unison. The conjurer then removes it a third time. You then see all three of his heads, which are exact duplicates, upon the table at one time, while the conjurer again stands before the audience with his head perfectly intact, singing in unison with the three heads upon the table. He closes the picture by bowing himself from the stage.

L'arrivée d'un train en gare de La Ciotat, ou L'arrivée d'un train à La Ciotat, est un film français réalisé par Louis Lumière en 1895, sorti en janvier 1896, dont il existe plusieurs versions.

Dans une mine en Arctique, deux personnes affrontent l'horreur.

Des bandits réduisent au silence le télégraphe avant de prendre un train d'assaut et de dévaliser ses passagers.

Un astronome est penché sur ses livres. Le diable apparaît et tente de lui insuffler de mauvaises idées. Il est chassé par une déesse lunaire. L'astronome fait des calculs sur son tableau qui soudain s'anime tout seul. Un peu déboussolé, l'astronome regarde la lune avec son télescope.

Sur un scénario de Buñuel et Dali des images folles, un film choc qui fut longtemps frappe d'interdiction et provoqua la parution du « Manifeste surréaliste ».

Une scène au jardin de Roundhay est un essai de film, tenté en 1888 par l'inventeur français Louis Le Prince. Ne comportant que des photographies fixes obtenues par un procédé de chronophotographie, cette tentative n'a jamais pu être visionnée en mouvement. En 1930, les photographies ont été reproduites sur film 35 mm par le procédé du banc-titre, reconstituant ainsi le mouvement que Le Prince n'avait pas réussi à voir. Le titre lui a été donné à cette époque, aucun titre proposé par Le Prince n'ayant été retrouvé avec les photographies. Il est parfois considéré, rétrospectivement, comme le premier film à avoir été tourné.

Porter's sequential continuity editing links several shots to form a narrative of firemen responding to a house fire. They leave the station with their horse drawn pumper, arrive on the scene, and effect the safe rescue of a woman from the burning house. But wait, she tells them of her child yet asleep in the burning bedroom...

Pendant la guerre de Sécession aux États-Unis, deux familles sont mises à l'épreuve : les Stoneman, favorables au Nord, et les Cameron, des sudistes. Le retour de la paix ne calme pas les esprits. Lincoln est assassiné. Les troubles naissent des politiciens véreux et des Noirs livrés à eux-mêmes. Par réaction se crée le Ku Klux Klan justicier et vengeur.

Un bref conte fantastique impliquant une étrange fée qui peut produire et accoucher de bébés sortant de choux. Ce film est perdu (ou n'a jamais existé ?), Les copies en ligne sont en fait le remake de 1900.