Selon une ancienne légende, la dynastie Wildenbrück serait maudite depuis de nombreuses générations. En effet, tous les cent ans, une habitante du château Wildenbrück serait possédée par celle que l'on nomme "la Dame rouge", et se verrait contrainte d'assassiner sept personnes pour prolonger la malédiction. La légende veut que sa dernière victime soit "la Dame noire", c'est-à-dire la propre sœur de la possédée. En 1972, Kathy Wildenbrück, photographe de mode à l'agence Springe, se dispute violemment avec sa sœur Évelyne, dans le jardin du château familial. S'ensuit un affrontement au cours duquel Kathy tue accidentellement sa sœur. Quelque temps plus tard, des proches de la jeune femme sont tués sous les coups de poignard d'une étrange silhouette vêtue de rouge. Quelques témoins ayant aperçu le meurtrier érigent un portrait robot, ressemblant de façon troublante à Évelyne. Cette dernière est pourtant morte depuis peu...
Dix ans se sont écoulés depuis les terribles meurtres commis par Ghostface. Sydney Prescott est parvenue à tourner la page, mais c’est tout de même avec appréhension qu’elle retourne à Woodsboro pour le lancement de son premier roman. Ses retrouvailles avec sa cousine Jill ainsi qu’avec le duo de choc Dewey et Gale seront de courte durée : Ghostface est de retour mais cette fois-ci, les règles vont changer.
Deux lyceennes, Patty et Linda, assistent, en degustant du pop corn, a la seance en matinee d'un film d'horreur. Sur l'ecran, Alice a l'aide de ses pouvoirs hypnotiques tente de sauver son fils John qui devient aveugle. Elle le pousse a sortir pour se venger de sa cecite en allant recueillir les yeux des victimes qu'il egorge sauvagement. Patty, degoutee, se precipite aux toilettes. Elle y trouve un homme au comportement bizarre. Sur l'ecran, John se rend dans un cinema de quartier ou l'on joue un classique de l'horreur, dans l'intention de completer sa collection...
Simon Cartwright, serial killer interné depuis cinq ans dans un hôpital psychiatrique, semble guéri. Delivré des hallucinations qui le hantaient, il veut prouver à tous sa guerison. Il doit d'abord convaincre sa psychologue Karen Shoemaker. Karen le croit guéri, puis à la confiance succèdent le scepticisme et la méfiance. Karen pénètre dans l'univers tourmenté de Simon, qu'elle pousse dans ses derniers retranchements.
Le propos de SERIAL KILLERS est d'étudier trois tueurs en série notoires, dont la particularité est d'avoir mangé de la chair humaine. Le ton est donné. On va nous parler "des vrais Hannibal Lecter". De Albert Fish à Andreï Chikatilo, en passant par Jeffrey Dahmer, on se prépare à une plongée terrifiante dans des démences qu'on ne pourrait jamais imaginer possibles, et pourtant...
Norman Bates est l'auditeur d'une émission de radio pour témoigner du sujet de l'émission "j'ai tué ma propre mère". Après la mort de son père, Norman et sa mère Norma vivaient reclus dans une interdépendance malsaine. Alors qu'il était adolescent, il devint follement jaloux quand sa mère prit un amant. Il les assassina à la strychnine et conserva le corps de sa mère. Aujourd'hui « réinséré », Norman est marié, et sa femme est enceinte. Le sujet de l'émission le ramenant à ses douloureux souvenirs de tueur, lui fait peur de donner naissance à un rejeton comme lui qui perpétuerait une lignée maudite. Ses souvenirs le poussent à vouloir tuer sa femme et l'enfant qu'elle porte, espérant se libérer définitivement de sa mère.
L'officier Logan parvient avec l'aide d'une voyante, Tess, à capturer le dangereux psychopathe Channing, qui en est à son quatorzième meurtre rituel. Après son exécution, il découvre que l'assassin possède le don d'immortalité, et qu'il cherche à se venger. Il va devoir enquêter dans le surnaturel et opposer ses forces aux pouvoirs de Channing.
Quatre petites histoires horrifiques : "Terror in Topanga" (un fumeur invétéré sort s'acheter des cigarettes mais un serial kiler rôde dans les parages), "Bishop of Battle" (un fana de jeux-vidéos finit par rentrer dans un jeu lui-même), "The Benediction" (un prêtre qui a perdu la foi est poursuivit par un camion noir de l'enfer), "Night of the Rat" (un couple et leur jeune fille combattent un rat géant dans leur sous-sol)...
Remake de The Lodger, Man in the Attic met en scène un étrange locataire qu'on désigne comme étant Jack l'éventreur.
Suite de Henry, Portrait d'un serial killer, ce deuxième volet relate la suite des 'exploits' macabres de Henry Lee Lucas. Après une folle cavale à travers les Etats-Unis, il s'installe chez un couple, bien loin de se douter des agissements meurtriers de leur locataire.
Condamné à mort après avoir assassiné une prostituée, un homme prend la fuite et est accidentellement décapité. Après avoir récupéré la tête du défunt, le professeur Waldemar l'utilise à des fins scientifiques. Plusieurs autres meurtres sont alors signalés près des maisons closes de la région.
Les aliens punissent l'un des leurs en l'envoyant sur la Terre. L'étranger est très violent, et quand le corps qu'il occupe est endommagé, il est forcé de trouver un autre.
Cette nuit, un tueur est mort. Son corps repose pour l'éternité mais son esprit est plus puissant que jamais. Littéralement scannérisé par un ordinateur victime d'un gigantesque court circuit, il peut maintenant frapper là où se conduit l’électricité, du plus performant des ordinateurs au plus anodin des appareils ménagers. Maintenant, il détient le carnet d’adresse des amis de Terry Monroe et il a décidé des les tuer tous, un par un...
Washington, Manny, un jeune artiste, est devenu accro à la masturbation sur Internet. Malheureusement pour lui, quelqu'un est devenu accro à Manny. A chaque nouvelle connexion, le tueur exécute son partenaire devant ses yeux...
Accompagnée de son mari, la romancière américaine Susan Golden s’installe dans un manoir isolé en Grande-Bretagne. Tandis qu’elle découvre les lieux, elle se laisse gagner par le souvenir du massacre, quinze ans plus tôt, d’un groupe de militants écologistes par un tueur en série. Des événements encore si présents qu’ils imprègnent la région et obsèdent Susan qui, assaillie par des visions cauchemardesques, croit devenir folle. Mais peut-être ne l’est-elle pas autant que le pensent son conjoint et la police ? A moins que ce ne soit le roman d’épouvante qu’elle écrit, « Le maniaque », qui s’empare littéralement d’elle…