À la fin des années 80, Oh Dae-Soo, père de famille sans histoire, est enlevé un jour devant chez lui. Séquestré pendant plusieurs années dans une cellule privée, son seul lien avec l'extérieur est une télévision. Par le biais de cette télévision, il apprend le meurtre de sa femme, meurtre dont il est le principal suspect. Au désespoir d'être séquestré sans raison apparente succède alors chez le héros une rage intérieure vengeresse qui lui permet de survivre. Il est relâché 15 ans plus tard, toujours sans explication. Oh Dae-Soo est alors contacté par celui qui semble être le responsable de ses malheurs, qui lui propose de découvrir qui l'a enlevé et pourquoi. Le cauchemar continue pour le héros.

Ève Harrington reçoit, des mains d'un vieil acteur, le prix Sarah Siddons. L'entourage de celle-ci se souvient de son ascension.

Kyoto, au XVIIe siècle. Ishun est un grand parcheminier qui vit avec sa seconde épouse, Osan, plus jeune. Cette dernière ne l'a épousé que pour sauver sa famille du déshonneur. Amoureuse du secrétaire de son mari, qui doit fuir après avoir commis une escroquerie, elle le rejoint. Tous deux s'unissent pour tenter d'échapper à leur destin tragique : la crucifixion qui châtie l'adultère.

Une mère privée de sa famille, humiliée, violée puis emprisonnée donne naissance à une fille durant sa captivité, Yuki. Cette dernière sera élevée pour devenir un instrument de vengeance redoutable.

Durant la Seconde Guerre mondiale, dans un camp disciplinaire britannique en plein désert de Libye, se dresse une colline artificielle construite par les prisonniers qui doivent en outre la monter et descendre sous le soleil, surveillés par le sergent Williams qui s'en délecte…

Dans les contrées lointaines des États-Unis, persistent, de génération en génération, de tragiques luttes ancestrales. Ainsi en est-il des Canfield et des McKay. Quand le jeune Willie McKay, après avoir grandi, sain et sauf, à New York, revient au pays, charmé puis invité par sa compagne de voyage, il ne se doute pas que celle-ci n’est autre que la plus jeune des filles Canfield et qu’il vient donc de se jeter dans la gueule du loup !

Lassé des frasques d'Hollywood, John L. Sullivan, jusque-là réalisateur de comédies, décide de tourner un film qu'il veut plus dramatique et ancré dans la réalité. Vêtu tel un vagabond, il commence ses "voyages" pour mieux comprendre les aspirations des milieux défavorisés.

Journal filmé qui commence le 28 mars 1994, le jour du resultat des éléctions où la droite a gagné, pour se terminer en août 1997, le jour du quarante-quatrième anniversaire de l'auteur. Pendant ce temps, le gouvernement a changé, un bébé est né, une comédie musicale est en gestation et un documentaire sur l'Italie est realisé...

John Robie, cambrioleur assagi, goûte une retraite dorée sur la Côte d'Azur. Le paysage s'assombrit lorsqu'un voleur, utilisant ses méthodes, le désigne tout naturellement comme le suspect n°1. La milliardaire Mme Stevens et sa fille Frances sont des appâts de choix que veut utiliser « Le chat », mais la belle Frances n'est pas indifférente à l'ancien cambrioleur.

Alors que les Allemands occupent la moitié de la France, Marion Steiner ne pense qu'aux répétitions de la pièce qu'elle doit monter au théâtre Montmartre dont elle assure la direction depuis que son mari, Lucas, juif allemand, s'est enfui de Paris. En réalité, Lucas s'est réfugié dans les sous-sols du bâtiment. Chaque soir, Marion lui rend visite et commente avec lui le travail des comédiens, notamment celui du jeune premier de la troupe, Bernard Granger.

Lorsque Jim, jeune mendiant, entre dans une maison pour y demander de la nourriture, il y trouve un homme assassiné. Et une jeune servante qui décide de se déguiser en homme pour fuir avec le vagabond sur les routes du Middle-west. Ils sont bientôt poursuivis par la police…

Sur un scénario de Buñuel et Dali des images folles, un film choc qui fut longtemps frappe d'interdiction et provoqua la parution du « Manifeste surréaliste ».

Un psychiatre invente une thérapie révolutionnaire qu'il applique à ses malades. Il n'avait pas prevu les effets secondaires, particulièrement destructeurs...

Margherita est une réalisatrice en plein tournage d’un film dont le rôle principal est tenu par un célèbre acteur américain. À ses questionnements d’artiste engagée, se mêlent des angoisses d’ordre privé : sa mère est à l’hôpital, sa fille en pleine crise d’adolescence. Et son frère, quant à lui, se montre comme toujours irréprochable… Margherita parviendra-t-elle à se sentir à la hauteur, dans son travail comme dans sa famille ?

Du moindre voyou aux chefs de la pègre, tout le monde est prévenu : « The Limey » (l'Anglais en argot de marin) est en ville et cherche vengeance. L'Angliche, c'est Wilson qui, après neuf années de prison en Angleterre, débarque à Los Angeles pour venger sa fille, morte dans des circonstances suspectes. Il découvre un monde nouveau, dont il ne connaît pas les lois. Plongé dans les bas-fonds, il affronte des criminels endurcis, à la recherche d'indices pour reconstituer un puzzle, à partir d'une seule piste : sa fille avait une liaison avec un producteur de disques.

54 lycéennes se jettent simultanément sous une rame du métro, considéré comme un "fait divers", il s'agit en réalité d'une vague de suicides qui se répandre à vive allure dans tout le pays. Kuroda, un détective est chargé de l'enquête...

Divorcée, sans enfant, déprimée et condamnée à retourner vivre chez ses parents à 35 ans, l'avenir d'Amy Minsky ne semble pas très rose. Jusqu'à ce qu'elle rencontre un adolescent qui changera sa vie.

C'est Noël dans la petite commune enneigée de Wichita, Kansas. Charlie, un avocat sans scrupules, et son associé, le dur à cuire Vic Cavanaugh, viennent de dérober deux millions de dollars au roi de la pègre de Kansas City. Mais pour Charlie, son plus beau cadeau de Noël reste la splendide Renata, la gérante du club de strip-tease local. Il espère quitter la ville avec elle...

La boutique de prêt-à-porter Dentley & Soper’s, son petit personnel versé dans les cérémonies occultes, ses commerciaux aux sourires carnassiers. Sa robe rouge, superbe, et aussi maudite qu’une maison bâtie sur un cimetière indien. De corps en corps, le morceau de tissu torture ses différent(e)s propriétaires avec un certain raffinement dans la cruauté.