Mélange d'images d'archives et de scènes de fiction, "Tahia Ya Didou" est un hommage à la ville d'Alger, qui est à l'origine du projet. Au hasard des promenades et des rencontres, Simon et sa femme, un couple de touristes français, découvrent Alger. Simon reconnaît dans un bistrot un Algérien qu'il a autrefois torturé. L'homme le fixe. Pris de panique, Simon s'enfuit. "Tahia Ya Didou" est l'unique film du comédien Mohamed Zinet. Né d'une commande de la ville d'Alger, qui attendait qu'il soit un documentaire touristique, il ne fut pas du goût des autorités et il n'y eut aucune sortie en salles. Devenu malgré tout un film culte, "Tahia Ya Didou" est bien plus qu'un documentaire promotionnel. Hommage à la ville d'Alger, à ses habitants, il est doté d'un ton inclassable, cohabitation de comique burlesque et de tragiques réminiscences du passé douloureux du pays. La comédie restaurée et numérisée en 2016, figure parmi les plus grands succès du cinéma algérien.

Un aventurier, Lonni, veut trouver de l'or au Congo. Afin de s'attirer les bonnes grâces des Indigènes, il s'attache aux pas d'une infirmière, Helen, qui est partie dans la brousse pour soigner les malades. Une tribu guerrière capture Helen et Lonni, afin que la jeune femme puisse soigner le fils du chef…

George Adamson se bat pour sauver la faune du Kenya. Avec son jeune assistant Tony Fitzjohn, Adamson se bat pour garder les animaux dans sa réserve de jeu "Kora" des braconniers dangereux.

Un zèbre demi-zébré part à la recherche de ses rayures perdues. Il est aidé dans sa quête par un gnou sur-protecteur et une magnifique autruche. En route, il tente également de trouver un moyen de sauver son troupeau de la sécheresse.

Une riche famille américaine voyage dans les vastes étendues sauvages africaines du Kenya dans l'espoir de vacances de rêve. Mais lorsque leur véhicule de safari est attaqué par un rhinocéros protégeant son bébé, la famille se retrouve à des kilomètres de la moindre aide et leurs vacances de rêve se transforment en une lutte cauchemardesque pour survivre dans un monde où ils sont au bas de la chaîne alimentaire.

Une équipe de tournage part au Congo et découvre que les dinosaures de plus de 65 millions d'années sont encore vivants. Suite à une attaque de reptiles volants, l'hélicoptère de l'équipe s'écrase à côté d'un village désert et tous les voyageurs se retrouvent coupés du reste du monde sans aucun moyen de communication...

Une jeune femme rêvant d'être chanteuse d'opéra est envoyée en Afrique par son agent. Là-bas, elle se fait passer pour une indigène. Rapidement, un homme très important dans le monde de l'opéra tombe sous son charme, la prend sous son aile et décide d'en faire une vedette aux Etats-Unis.

Jungle Jim se bat pour sauver un jeune innocent des chasseurs de trésor et un médecin de sorcière.

El Ghoula est une adaptation de la pièce satirique éponyme du comédien Rouïched (Ahmed Ayad). "El-Ghoula" (Le Vampire), raconte l’itinéraire d’un responsable corrompu, qui vit au-dépend des paysans d’une coopérative agricole. Au lieu de résoudre les problèmes, ce responsable manipule les discours creux et les slogans « révolutionnaires » pour les galvaniser et les encourager à poursuivre le travail. Opportuniste, il transformera le travail des fellahs en procédures bureaucratiques chaotiques, à des fins personnelles .

Alex Honnold est le grimpeur libre le plus accompli au monde. L'Angola est un pays d'Afrique du sud-ouest qui vient de sortir de 27 ans de guerre civile sanglante. Qu'est-ce qui réunit ces étranges compagnons de chambrée, vous demandez-vous ? Certains des rochers non escaladés les plus épiques au monde et une communauté qui a besoin d'aide pour éradiquer les mines anti-personnel encore cachées sous terre. Voici Alex Honnold en Angola, pour l'une des aventures les plus uniques de sa carrière de grimpeurs jusqu'alors.

A Sétif, drame familial ayant pour personnage principal un petit garçon nommé Rabie qui cherche par tous les moyens à obtenir l'argent nécessaire à l'achat d'une chaise roulante pour sa soeur infirme.... Grand succès populaire dans lequel le réalisateur, Abderrahmane Bouguermouh, tourne en dérision le pouvoir, mais qui lui vaut une fois de plus la répression non-dite du pouvoir de l'époque.