L’insouciance de leur vingtaine s’est envolée à l’instant où le diagnostic a été posé : cancer. Des questions vertigineuses, celles de la vie et de la mort, se télescopent avec leurs espoirs de vie à construire et leur soif de guérir.
Dix ans après le début des opérations d’une gigantesque mine d’or à ciel ouvert à Malartic, le miracle économique espéré n’est plus qu’un mirage. Le cinéaste Nicolas Paquet explore le contraste criant entre le déclin de la ville et la richesse de la société minière, ainsi que les mécanismes d’un système décisionnel opaque où les citoyens n’ont que peu de poids. À la fois enquête anthropologique et enquête dans les coulisses du pouvoir, Malartic aborde la question fondamentale de la gestion durable et équitable du territoire.
Alors que les algorithmes devaient révolutionner nos vies, les belles promesses des géants de la tech sont-elles en passe d’être tenues ? Un état des lieux documenté des impasses auxquelles se heurte encore l’intelligence artificielle.
Comment la science peut-elle être instrumentalisée pour semer du doute ? Pourquoi et pour qui ? Et comment nous, individus et citoyens, y consentons-nous ? Fabriquer de l’ignorance consiste à semer le doute dans le débat public, un doute scientifique suffisant pour retarder ou paralyser toute action politique ou citoyenne.
"La Boum", son slow culte et le visage de la toute jeune Sophie Marceau font partie de notre imaginaire collectif. En 1980, le film devient vite un phénomène social. Près de quarante ans plus tard, l'époque a changé, mais le culte perdure. "La Boum" est devenu le symbole du "teen movie" à la française, un film réconfortant qui se transmet de génération en génération. A l'heure de Tik-Tok et des applications de rencontres, "La Boum" continue de parler aux jeunes filles qui traversent l'adolescence. Le charme de ce film léger et sans prétention est décrypté par ceux qui l'ont fait et par Suzanne Lindon, Nora Hamzawi, Juliette Armanet, Suzane ou encore Pénélope Bagieu.