Dans une version futuriste du conte de Robert Louis Stevenson, une carte secrète entraîne une chasse au trésor à travers l'univers. Le jeune Jim Hawkins et un équipage hilarant partent à la recherche de leur destinée. Sur le vaisseau spatial, Jim rencontre le cuisinier cyborg John Silver, qui lui apprend les valeurs de l'amitié et à croire en ses rêves. Ils vont découvrir un trésor inimaginable.

Le film est librement inspiré de la pièce de théâtre éponyme de Jules Verne et Adolphe d'Ennery.

En 2035, les robots sont devenus de parfaits assistants pour les êtres humains. Le détective Del Spooner enquête sur le meurtre du docteur Alfred Lanning, un chercheur en robotique. Le principal suspect semble être un androïde nommé Sonny. Or, si l'on s'en réfère aux lois de la robotique, les robots ne sont pas dotés de la faculté de tuer…

Un scientifique fou a emprisonné un homme et son robot dans une station spatiale tournant autour de la Terre. Il leur inflige comme torture l'obligation de regarder des films de série B de science-fiction. Pour ne pas sombrer dans la folie, l'homme et son robot font des commentaires et des remarques sur les films qu'ils visionnent ou parlent à la place des personnages, réinventant des dialogues décalés.

Le docteur Frankenstein essaie de créer l'être parfait.

En 2038, les ressources naturelle de la Terre sont quasiment épuisées et la lutte est âpre pour s'approprier les dernières portions minérales disponibles sur les autres planètes. Des corporations se créent. Lorsque l'une d'elle voit disparaître ses robots, elle fait appel à des prisonniers pour la défendre. Au sein de l'équipe, la tension monte.

L’histoire de ce film n’est pas commune : Le film original, datant de 1962, était soviétique et s’appelait Planeta Bur. Ses droits ayant été rachetés par un Américain, ces films ont bien sûr modifié l’œuvre soviétique comme cela les arrangeait. Le tout dans un contexte de guerre froide et de course à l’espace… Mais seules les trois premières minutes décrivent l’arsenal spatial américain. Cette petite introduction laisse alors place à la voix d’un des astronautes qui sera notre narrateur. Il évoque l’attirance qu’il a eue pour une créature de Venus. Une créature qu’il n’a jamais rencontrée, mais dont la force de la présence a suffit à le faire tomber amoureux. Le film est d’une lenteur qui laisse naître une certaine fascination pour les belles blondes des bords de mer vénusien. Nous découvrons, une planète presque hypnotisante, au rythme des vagues qui s’écrasent sur les rochers et du chant de ces sirènes blondes.