Soucieux de faire bonne impression, Juan débute un jour plus tôt son nouveau travail dans une prison de haute sécurité. Mauvais timing. À peine arrivé, il se retrouve au cœur d'une émeute. Personne ne le connaît et le hasard va lui permettre de se faire passer pour un prisonnier. Il peut ainsi approcher le leader de l'insurrection. Quand des membres de l'ETA sont retenus en otage, l'affaire prend un tour politique et le gouvernement s'en mêle.
Roberto Borgo, Xavier Saratov et sa sœur Georgia Saratov, trois orphelins, sont placés chez Carl, un homme dur. À leur majorité, ils sont des durs, qui se débrouillent comme ils peuvent : dans le banditisme. À ce jeu, Roberto est le plus fort et intelligent. Il évince les pièges de ses ennemis, à tel point qu'il est annoncé par un aura : il porte « la Scoumoune », donc la malchance à ceux qui l'approchent. Juin 1934, Jeannot Villanova, un patron du milieu, engage un tueur pour tuer Roberto, mais ce dernier est plus rapide et tue l'homme de Villanova. Roberto tue Villanova et reprend ses affaires. Entre temps, Xavier a été condamné aux travaux forcés pour 20 ans pour un assassinat dont il est innocent mais que Villanova lui a fait endosser. À son tour, Roberto sera condamné pour avoir tué des voyous de la pègre noire américaine qui voulait faire main basse sur des commerces à Marseille.
Suite au décès de son enfant, Ethel change de vie. Elle fait la connaissance de Martin, qui, partant de rien, devient comptable au service de Castelman un chef de gang. La jeune femme devient la maîtresse de Castelman, qui l'envoie dans l'Ouest, tendre un piège à un ancien complice. Mais Ethel en tombe amoureuse...
La très belle et très intelligente Reine Christine de Suède tombe éperdument amoureuse de Don Antonio de la Prada, l'envoyé du Roi d'Espagne. Devant le mécontentement de la cour et du peuple, elle abdique en faveur du Prince Charles Gustave pour pouvoir épouser celui qu'elle aime. Mais Magnus, son dernier amant, va tout faire pour briser son bonheur.
Inspiré d'un drame réel qui eut lieu dans l'outback australien en 1980, "Un cri dans la nuit" raconte l'histoire d'une mère accusée d'infanticide, son bébé ayant disparu, alors qu'elle campait, enlevé, d'après sa version, par un dingo, chien sauvage australien. Ce film pose surtout le problème de la presse à grand tirage du monde entier qui fait son miel de ce genre d'anecdote quelles qu'en soient les conséquences pour les protagonistes innocents ou coupables.
En 1962, le mafioso Valachi est interné au pénitencier d'Atlanta, en Géorgie, pour une peine de quinze ans de prison. L'agent du FBI qui l'a piégé le convainc de faire tomber le capo Vito Genovese...
Paulie a l'art de s'attirer des ennuis et de mettre son cousin Charlie dans le pétrin. Cette fois-ci, les deux truands ont affaire à une bande de mafieux à qui ils ont dérobé une grosse somme d'argent destinée à corrompre la police.
Six jeunes gens passent la matinée après une folle sortie en boîte à essayer de reconstituer leurs mésaventures de la nuit précédente, y compris un voyage à l'hôpital, au moins une rupture et la découverte inattendue du cadavre d'un gangster. Au fur et à mesure que le groupe partage ses souvenirs fragmentés, certaines de leurs histoires commencent à s'emboîter tandis que d'autres ne font que susciter davantage de questions.
Le père de Laura Mansfield est abattu froidement à son domicile. Sa fille, témoin du meurtre, reconnaît le coupable lors d'une identification. Il s'agit de Jackie Wales. Mais la police ne peut l'arrêter faute de preuves. Persuadée que Jackie a agi pour le compte de quelqu'un d'autre, Laura décide de se rapprocher de lui afin de démasquer l'homme qui a fait abattre son géniteur...