Rescapée mais amnésique de l'attentat à la station de métro Maalbeek le 22 mars 2016 à Bruxelles, Sabine cherche l'image manquante d'un événement surmédiatisé et dont elle n'a aucun souvenir.

Métamorphoses au bord d'un lac. Grâce à une caméra aménagée, le réalisateur explore les perspectives au bord d'un lac.

Trois femmes racontent les liens qui les unissent à Richard Ramirez, un violeur et tueur en série arrêté dans les années 1980.

Ballet sous-marin tourné en mer Méditerranée avec un Nikon Z8 et porté par la musique ‘Brest’ de Rone, le film met en scène, à travers la danse, la rencontre et la confrontation entre un géant de plastique bakélite, confectionné par l’artiste plasticienne Hortense le Calvez, et une Naïade, esprit de l’océan joué par Julie Gautier. Bakelite a lancé la campagne #SickOfPlastic de On Est Prêt, construite avec les deux ONGs Surfrider Foundation, Break Free from Plastic et avec Resilient Foundation. La photographie a été dirigée par Jacques Ballard, grand spécialiste des tournages sous-marins.

1974. Trois employés de Postes Canada décident de répondre bénévolement aux lettres que les enfants adressent en fin d'année à : "Père Noël, Pôle Nord, H0H OHO". Depuis, ce ne sont pas moins de onze mille lutins (employés des Postes, retraités, psychologues) qui continuent à tenir cette promesse magique.

Tourné au Québec, La noirceur souterraine des racines est un triptyque sur pellicule 16mm utilisant plusieurs procédés propres au cinéma argentique (développement à la main, tirage optique, altération photochimique). Le film cherche à faire voir l'expérience sensorielle de la vie invisible des pierres, des plantes, de la nature qui nous entoure. C'est une plongée au coeur de la matière, « de l'essence vraie des fleurs, et des tiges, et des branches et des feuilles, soit ce qui les visse à la terre nourricière, cet immense réseau de captation de l'eau, des sucs, des bactéries parasitaire, bref, la noirceur souterraine des racines». (Alain Badiou, Le Noir; Éclats d'une non-couleur)