Avant de partir en voyage, Jack Whitman reçoit la visite de son ex-petite amie dans sa chambre d'hôtel parisienne.

Au lever du jour, Jean de Dieu rentre chez lui, blessé à la tête. Un passage de la bande son de « Johnny Guitar » le hante.

La maléfique reine Divatox pourchasse le magicien Lerigot, qui se réfugie sur Terre en Centrafrique. Elle veut lui prendre une Clé d'Or pour accéder à l'Île de Muiranthis, où se trouve le Temple du démon Maligore, son futur époux. Là, elle compte le réveiller avec des victimes humaines - qui se trouveront être des Power Rangers actifs ou retraités, ce qui permet aussi à Divatox de faire chanter Lerigot. De leur côté, les Power Rangers luttent pour sauver un orphelinat, mais ils doivent aussi intégrer une jeune recrue, Justin, qui a découvert leur identité et devient le Ranger Bleu. D'abord bernés par Divatox, qui leur donne des mannequins à la place de ses otages en échange de la Clé, ils créent la Technologie Turbo et des clés imitées de celle de Lerigot. Ils combattent en chemin les sbires de Divatox mais ne peuvent pas libérer Jason, et, sur l'île, Kim se fait kidnapper par les Manikayans que Divatox subjugue : elle a à nouveau deux offrandes.

Accompagné de nombreuses personnalités, le richissime Philip Stevens se rend par la voie des airs à l'inauguration de sa collection privée d'œuvres d'art. Quand l'avion est détourné par des pirates de l'air attirés par les trésors contenus dans les cales, tout tourne mal : le boeing 747 s'écrase au milieu du triangle des Bermudes. Pour sauver les survivants, une course contre la montre s'engage...

Un détour pris sur le chemin du retour de son travail menace la relation d'un homme.

Un court-métrage qui avait tout pour devenir culte : avec un casting composé de cinéastes 4 étoiles (où l’on rencontre Denis Podalydès, Jan Kounen, Marc Caro, Albert Dupontel, Gaspar Noé et même des acteurs comme Zinedine Soualem…) et figures de ce que les critiques américains appelleront la “New French Extremity”, il pourrait presque préfigurer le Dernières séances de Laurent Achard - à la différence près que dans le court de Bréaud, c’est un spectateur cinéphile, et non le projectionniste, qui s’inspire des films qu’il voit pour goûter à son tour au meurtre façon slasher.