Une odyssée visuelle et musicale qui suit l'histoire de deux robots dans leur quête pour devenir humains.
Dans Le Livre d’Image, Jean-Luc Godard recycle des images déjà existantes (films, documentaires, peintures, archives télévisuelles, etc.), cite des extraits de livres, utilise des fragments de musique. Le moteur, c’est la rime poétique, l’association ou l’opposition d’idées, l’étincelle esthétique à travers le montage, clé de voûte. L’auteur exécute un travail de sculpteur. La main, pour cela, est essentielle. Il en fait l’éloge au début. « Il y a les cinq doigts. Les cinq sens. Les cinq parties du monde (…). La vraie condition de l’homme, c’est de penser avec ses mains. » Jean-Luc Godard compose une éblouissante syncope de séquences, dont le déferlement évoque la violence des flux de nos écrans contemporains, portée à un niveau d'incandescence rarement atteint. Couronné à Cannes, le dernier Godard est un film choc, à la beauté crépusculaire.
Alors que Kübra se prépare pour son prochain mariage, elle est attaquée par des démons qui la désorientent. Le psychiatre Ebru, un vieil ami de Kübra, va l'aider et travailler avec un exorciste pour la sauver.
Une reporter et son caméraman sont coincés à l'intérieur d'un immeuble placé en quarantaine, où d'étranges créatures vivent...
Après avoir vécu pendant 20 ans à Washington, Mark Klein cherche le réconfort dont il a besoin en s'installant dans la région sauvage et reculée de la Virginie occidentale. Mais Mark réalise peu à peu que, malgré son nouvel environnement isolé, il n'est peut-être pas seul.
Deux jeunes américains sont en voyages à Barcelone et ont pour but de s'amuser. Au cours de leur première nuit de fiesta, ils rencontrent des filles qu'ils raccompagnent chez elles. Et c'est là que les choses vont prendre une tournure inattendue.