Une femme française de 90 ans, qui fut membre de la Résistance sous l'Occupation nazie, entreprend pour la première fois un voyage en Allemagne, 74 ans après la fin de la Seconde guerre mondiale. L'objet de son périple est la visite du camp de concentration de Dora, où son frère fut assassiné par les nazis.
Le titre Zeitgeist est une expression allemande qui veut dire « esprit du temps », en faisant allusion à l'expérience du climat culturel dominant. Le site web officiel déclare que Zeitgeist, The Movie et sa suite Zeitgeist : Addendum ont été créés sans but lucratif pour communiquer les conclusions des auteurs. Peter Joseph utilise des appuis historiques et modernes afin de montrer que ces conclusions sont censurées par les institutions sociales actuelles dominantes. Le film se veut une déconstruction méthodique de trois grands événements ou mythes qui présideraient au fonctionnement des sociétés occidentales
Un documentaire sur l'opération Anthropoïde pendant la Seconde Guerre mondiale.
Après les rafles de juillet en zone occupée, le gouvernement français a offert aux allemands de leur livrer 10 000 Juifs raflés en zone libre. Tous les préfets de France ont livré leur quota à l'exception du préfet de Corse. Sur les 10 000 Juifs raflés durant cette période, 270 reviendront des camps d'Auschwitz et de Blechhammer.
Pendant longtemps la situation des Juifs d’Afrique du Nord durant la Seconde Guerre mondiale n’a pas retenu l’attention des historiens. Pourtant, l'Afrique du Nord abritait également une communauté juive, environ 3 % de la population, soit 400 000 personnes. Les lois antisémites de Vichy ont été mises en œuvre avec une sévérité particulière en Algérie et les Juifs de Tunisie ont subi l’occupation allemande.
Après l’attaque de Pearl Harbor, les États-Unis et les Alliés doivent protéger les îles du Pacifique contre une invasion japonaise. Mais s’ils veulent faire débarquer leurs troupes sur les îles françaises du Pacifique, ils doivent demander l’autorisation de la France Libre. Le général De Gaulle réclame en contrepartie aux Américains la reconnaissance officielle de la France Libre, de son autorité et de la souveraineté inaliénable de la France sur ces territoires. Le 23 février 1942, le département d’Etat américain publie la déclaration tant attendue par De Gaulle.
Alors qu'à l'Est de l'Europe allaient se créer des "camps de la mort", au Chambon allaient s'ouvrir des "camps de vie" ! Sur le plateau Vivarais-Lignon, environ 3 500 enfants juifs furent sauvés, extraits in extrémis des griffes de la sauvagerie nazie. Sept témoins nous livrent leurs souvenirs de cette sombre période de l'histoire.
La Cité de la Muette à Drancy fut le lieu de transit des Juifs arrêtés en France et déportés ensuite vers les camps de la mort. Pour plus de 65 000 Juifs de France, elle fut l'antichambre de l'extermination, gardée par des gendarmes Français, soutenue par Vichy. Le film revient sur l'histoire méconnue de ce camp aux portes de Paris dont la mémoire a été engloutie dans le tourbillon de la Shoah.
Ne voyant pas revenir les juifs qu’ils avaient vu se faire rafler les français se sont-ils posés la question de ce qu’ils étaient devenus? Les mieux informés ont été confrontés à des nouvelles alarmantes parlant d’assassinats en masse. Mais qualifiées de rumeurs extravagantes par la désinformation de l’occupant et de ses collaborateurs, qu’en ont-ils fait? Ces interrogations, qui valent pour tous les citoyens français, le gouvernement de Vichy ou l’Église, sont particulièrement adressées aux cadres de la France Libre, aux réseaux de la résistance français et aux Israélites de France.
Fondée en 1912 à Saint-Pétersbourg par des médecins juifs et réfugiée à Paris en 1933, l'Œuvre de secours aux enfants (OSE) a très vite mis en œuvre une véritable opération de sauvetage pendant la Seconde Guerre mondiale.
En juin 1940, la France perd la guerre et l'Occupation allemande débute. Les juifs représentent alors une infime fraction de la population française. Venus de tous les horizons, appartenant à des mouvements de jeunesse ou à des partis politiques, ils ont été très nombreux à s'engager dans tous les mouvements de résistance. Celle-ci a commencé avec l'entraide. Puis , face à la répression et aux persécutions raciales, elle s'est poursuivie avec la propagande et l'action armée.
"Pétain et les francs-maçons" met en lumière un pan peu connu du régime pétainiste, sa lutte contre les francs-maçons. Fondé sur des documents d’archives inédits, ce documentaire raconte et décrypte ce que fut l’antimaçonnisme du régime de Vichy – la seule politique répressive directement impulsée par le maréchal Pétain. Retraçant et entremêlant les parcours de « collabos » et de francs-maçons engagés dans la Résistance entre Paris, Lyon ou Vichy, ce film met en lumière un pan peu connu de l’histoire du régime pétainiste et de sa politique de collaboration avec l’occupant. Pour réaliser ce documentaire Jean Barat s'est servi de documents d'archives inédits, provenant notamment du musée de la Franc-maçonnerie du Grand Orient et de l'ECPAD. Cette collaboration, entre le réalisateur et l'Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD), a permis d'illustrer, avec des archives d'images nouvelles, cette répression instituée par le régime de Vichy.