Au cœur de la forêt des Cévennes, paradis des châtaigniers centenaires et des résineux, vit une femelle écureuil au caractère bien trempé. Farouchement indépendante, architecte des forêts, athlète de haut-niveau, elle est aussi une mère totalement dévouée. Elle fait preuve de sagesse et de prévoyance en faisant des provisions. En semant les noisettes et les glands, non seulement notre rongeuse favorise la pousse des arbres mais en plus, elle les connecte entre eux, facilitant leur communication, un peu comme on installe les fils électriques d’une maison. Joueuse, c’est la reine du bluff. Voici le portrait de l’écureuil roux : d’une femelle puissante jusqu’au bout des griffes et prête à tout pour survivre. En un mot, une super héroïne de la forêt.

Alors que les ressources en eau potable de la Terre continuent de se raréfier, un inventaire, teinté d’espoir, des recherches pour remédier à ce risque grave de pénurie.

Ce documentaire retrace le parcours d'escrocs qui, grâce au système de l'UE de quotas d'émission de carbone, ont empoché indûment des milliards d'euros. Avant de s'entre-détruire...

Un film biographique sur l'illusionniste cinématographique Georges Méliès mettant en vedette la veuve de Méliès, Jeanne d'Alcy, dans le rôle d'elle-même, et leur fils André dans le rôle de son propre père.

Le documentaire retrace l'histoire de la représentation de la nudité au cinéma, depuis les débuts des films muets jusqu'à nos jours. Par ce prisme, le réalisateur examine les changements de moralité qui ont conduit à l'utilisation de la nudité au cinéma tout en mettant l'accent sur les changements politiques, sociologiques et artistiques au cours du dernier siècle. Ce reportage étudie également l'inégalité des sexes dans la présentation d'images nues dans les films et montre la révolution qui a mené à l'égalité des sexes dans les longs métrages actuels.

Matthew souffre de diabète depuis qu'il est enfant. La maladie est bien maîtrisée, mais la peur le ronge : combien d’années en bonne santé reste-t-il à ce père de deux enfants ? Ce film est son journal vidéo intime afin de conjurer sa maladie par l’inventivité cinématographique. Entre gore, humour et performance, un joli pied-de-nez à la mort qui rode. Son (auto)observation à long terme tourne de manière fiable autour des craintes d’infirmité et de mutilation. Il traduit en film l'horreur corporelle redoutée, se met en scène comme un zombie, un vampire, une figure désolée. Lancit anticipe de manière ludique son potentiel déclin, en proposant tout un arsenal d'effets qui – comme le prouvent les enregistrements vidéo – remontent à sa jeunesse.