35 ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, retour sur l'incroyable bataille menée par l'Union Soviétique contre les radiations. C’est une histoire hors norme avec ses héros, ses traîtres et ses mensonges. Ce film en explore les enjeux historiques à moyen et long terme.
À Kiev, un groupe de jeunes gens tente de surmonter les traumatismes de la guerre à travers une performance théâtrale. Tourné avant l’invasion de l’Ukraine, un aperçu poignant du douloureux processus de reconstruction d’une génération.
Un documentaire sur les troubles en Ukraine en 2013 et 2014, alors que les manifestations soutenant l'intégration européenne se sont transformées en une révolution violente appelant à la démission du président Viktor F. Ianoukovitch.
"La guerre du charbon dresse le portrait d'Américains issus de différentes communautés du pays, aux prises avec l'héritage laissé par l'industrie du charbon et explore son futur possible sous le gouvernement Trump. Des Appalaches jusqu'au bassin de la rivière Powder situé plus à l'ouest, le film raisonne au-delà de la rhétorique qui condamne l'utilisation du charbon, pour présenter des témoignages édifiants et bien souvent poignants, quant à l'enjeu pour notre économie, notre santé, notre climat et nos communautés.
Gazprom, conglomérat industriel et financier créé en 1992, constitue l’arme maîtresse de la stratégie géopolitique du Kremlin. Premier producteur de gaz naturel, la Russie détient en effet un tiers du total des réserves mondiales. Chargée de le produire, de le distribuer et de le vendre, Gazprom est une société pas comme les autres, où œuvrent des professionnels des marchés gaziers, mais aussi des ministres, des députés, et des conseillers proches du président russe. C’est lors de l’hiver 2005-2006 que l’Europe, qui achète 30 % de son gaz à la Russie, a pris soudain conscience de sa vulnérabilité. Comment ? Du jour au lendemain, la Russie venait de couper l’approvisionnement en gaz de l’Ukraine pro-occidentale de Viktor Louchtchenko, qui refusait de payer des tarifs multipliés par cinq. Depuis, la hausse continue des prix du pétrole, couplée à une demande chinoise toujours plus importante, est venue confirmer le rôle clé que ses hydrocarbures confèrent à la Russie.