Dans ce documentaire, des archéologues égyptiens fouillent l'histoire et découvrent des tombes et des objets vieux de plus de 4 000 ans alors qu'ils recherchent une pyramide enterrée.
En 1900, tous les regards sont tournés vers Paris. L’exposition universelle qui ouvre ses portes en avril 1900 en est la célébration. Elle accueillera 51 millions de visiteurs dont la moitié sont des étrangers ! D’énormes moyens ont été mis en œuvre pour en faire un événement exceptionnel : le Petit et le Grand Palais sont construits à cette occasion, mais aussi les gares d’Orsay, de Lyon et des Invalides. Et on inaugure la première ligne de métro qui transportera plus de 10 millions de voyageurs pendant l’exposition. Paris devient une ville spectacle où on célèbre aussi bien les dernières inventions techniques et scientifiques que les salons artistiques d’avant-garde, les cabarets, les grands couturiers et… les Parisiennes. Grandes bourgeoises ou ouvrières, elles font bouger les lignes et tentent de s’affirmer, en exerçants des métiers habituellement réservés aux hommes.
De l'Ukraine à l'Indonésie, du Nigeria au Pakistan et à la Chine, rencontre avec des travailleurs de force qui gagnent à peine de quoi survivre. En cinq lieux à travers le monde, cinq situations exemplaires, ce film montre avec un sens époustouflant de la mise en scène les conditions de vie et de travail effarantes qui sont le lot des laissés-pour-compte du libéralisme économique.
Trois journées d’août 1914 est un dyptique, un film en deux volets sur la mémoire des atrocités allemandes du début de la Grande Guerre en Belgique. Dans le premier volet les témoins racontent leurs histoires familiales broyées par la tragédie, un héritage qui passe de génération en génération. Dans le second volet, le film explore les traces vivaces des massacres allemands du mois d’août dans plusieurs villages gommés de la province belge de Luxembourg. Le souvenir des tueries et des incendies hante encore les populations alentours.