Juifs et communistes, émigrés en France dans les années 1930, ils ont été les principaux acteurs de la résistance urbaine menée à Paris contre l'occupation allemande. En 1985, pour son premier long métrage documentaire, Mosco Levi Boucault recueillait les bouleversants témoignages de ces ex-"terroristes" oubliés par la France.

2018, au Sud-Est de la Norvège à Gjellestad, l'empreinte d'un drakkar enfoui sous terre est identifiée par géoradar. Le drakkar se révèle être l'un des plus grands bateaux-tombes exhumés au cours de ces cent dernières années en Norvège.

"La Boum", son slow culte et le visage de la toute jeune Sophie Marceau font partie de notre imaginaire collectif. En 1980, le film devient vite un phénomène social. Près de quarante ans plus tard, l'époque a changé, mais le culte perdure. "La Boum" est devenu le symbole du "teen movie" à la française, un film réconfortant qui se transmet de génération en génération. A l'heure de Tik-Tok et des applications de rencontres, "La Boum" continue de parler aux jeunes filles qui traversent l'adolescence. Le charme de ce film léger et sans prétention est décrypté par ceux qui l'ont fait et par Suzanne Lindon, Nora Hamzawi, Juliette Armanet, Suzane ou encore Pénélope Bagieu.

Haut lieu de la mode, Paris sert de décor idéal aux photographes que l’on voit ici en pleines séances photos avec des mannequins. Dans les rues de la capitale ou sur les toits de ses immeubles, ces scènes insolites ne laissent pas indifférent le badaud et attirent inévitablement les curieux.

Un documentaire sur la réalisation d'un film écologique: Pour aider Francis Hallé dans son combat pour sauvegarder les dernières forêts tropicales, un documentariste passionné de nature décide de réaliser son premier film de cinéma : "The Botanist", un thriller écologique avec Leonardo DiCaprio. Il trace son chemin avec malice, obstination, et découvre, avec candeur, les arcanes du septième art. Même s’il ne lâche jamais rien, son film existera-t-il un jour ?

À Soisy-sur-École (Essonne), Mostafa, depuis trente ans en France, vient de vendre son épicerie pour racheter le bar-tabac du village. Quelque temps avant, il avait recueilli Brahim, SDF après vingt ans de travail à Poissy et à Marseille. À l'épicerie, Brahim, toujours d’humeur joyeuse, était vite devenu la mascotte de la bourgade. À travers Mostafa et Brahim, décédé subitement, Laurent Chevallier dresse un constat amer de l’intégration. Brahim vivait seul au milieu des bois et avait sombré dans l’alcoolisme. Mostafa s'est acharné à lui faire remonter la pente. Loin de leur Maroc natal, leur amitié s'est forgée dans la petite épicerie. L’un y a trouvé la chaleur d’un foyer et un travail, l’autre, une énergie accrue et un complice pour un nouveau projet : reprendre le café longtemps fermé. Mais l'aventure est brutalement interrompue par la mort de Brahim.