Le film décrit de manière informative et captivante la façon dont la société peut empêcher la disparition des espèces en voie d’extinction, d’écosystèmes et de communautés autochtones à travers le monde. Le public découvrira des preuves visuelles de l’aggravation de la crise environnementale, qui inflige des dégâts irréversibles à des paysages immaculés, du Groenland à l’Indonésie, remettant en cause l’équilibre du climat et précipitant l’extinction des espèces animales. Dévoilé avant l’élection présidentielle américaine, le documentaire vise à avertir les citoyens et à les inviter à voter pour des dirigeants qui font du climat une priorité, tout en proposant des solutions réalisables et pratiques pour sauver la planète.
À Soisy-sur-École (Essonne), Mostafa, depuis trente ans en France, vient de vendre son épicerie pour racheter le bar-tabac du village. Quelque temps avant, il avait recueilli Brahim, SDF après vingt ans de travail à Poissy et à Marseille. À l'épicerie, Brahim, toujours d’humeur joyeuse, était vite devenu la mascotte de la bourgade. À travers Mostafa et Brahim, décédé subitement, Laurent Chevallier dresse un constat amer de l’intégration. Brahim vivait seul au milieu des bois et avait sombré dans l’alcoolisme. Mostafa s'est acharné à lui faire remonter la pente. Loin de leur Maroc natal, leur amitié s'est forgée dans la petite épicerie. L’un y a trouvé la chaleur d’un foyer et un travail, l’autre, une énergie accrue et un complice pour un nouveau projet : reprendre le café longtemps fermé. Mais l'aventure est brutalement interrompue par la mort de Brahim.
27 octobre 2005. Deux adolescents de Clichy-sous-Bois, Zyed Benna et Bouna Traoré, trouvent la mort dans un transformateur électrique en tentant d’échapper aux forces de l’ordre. Dix ans plus tard, le tribunal de Rennes relaxe finalement les deux policiers poursuivis pour non-assistance à danger. Le passé se rappelle alors à nous. Il nous replonge au cœur de ces trois semaines de révoltes urbaines, quand partout en France la jeunesse des quartiers populaires cria au monde entier son ras-le-bol, dit enfin ses frustrations, ses humiliations. Quand, aussi, avant que tout ne pète, un certain Nicolas Sarkozy promit de "nettoyer les cités au kärcher" et de se débarrasser des "racailles". Mais depuis, le temps a passé. Le ministre est devenu président. Et les cités ont été passées au kärcher de la rénovation urbaine. Dix ans après, donc, que reste -t-il de cette révolte ?