Le slow est un rituel en voie de disparition. À travers l'évocation du genre musical sans équivalent, Slow : une histoire d'amour raconte comment une simple danse a codifié les rencontres amoureuses depuis la seconde moitié du 20è siècle. Exploration sensitive unique, ces quelques minutes sur la piste qui marquent profondément au coeur, révèlent notre histoire du rapport à l'autre dans ce qu'il a de plus intime et de plus universel.

Rize révèle un phénomène urbain qui est en train d'exploser à Los Angeles et de se propager sur la Côte Est. Parce qu'il est au contact de celui-ci depuis longtemps, le photographe David Lachapelle a réussi à saisir la naissance d'une forme révolutionnaire d'expression artistique issue du mal de vivre des exclus du rêve américain : le krumping. Cette danse agressive et visuellement incroyable, alternative à la danse hip hop habituelle, prend ses racines dans les danses tribales africaines et se caractérise par des pas et des mouvements d'une vitesse et d'une difficulté inégalées. Rize suit cette fascinante évolution à travers l'histoire de Tommy le Clown, un éducateur de South Central à Los Angeles, qui a inventé cette danse en réponse aux émeutes raciales consécutives à l'affaire Rodney King.

Ce projet fou et audacieux, a pour but d'entraîner et faire danser les détenues qui se produiront hors les murs sur des grandes scènes prestigieuses comme celle du pavillon noir à Aix et à Montpellier au Festival International de la danse.

S’il y eut un "peintre des danseuses", ce fut bien Degas. Ce documentaire montre avec quel génie Degas a réussi à capter l’essence de leur art. Aucun peintre n’est aussi universellement associé à l’univers de la danse qu’Edgar Degas. Plus de la moitié de son immense production – dessins, gravures et peintures confondus – est consacrée aux ballerines et petits rats. Aucun artiste n’a sans doute observé les danseuses de si près, mieux compris leur nature et mieux rendu leurs mouvements. "La Danse et Degas" est moins un film sur l’histoire de l’art qu’un film sur le ballet et les ballerines, et sur le génie particulier avec lequel Degas a réussi à capter l’essence de leur art. Le film met en scène le Paris de Degas, ramené à deux lieux clés : Montmartre, où le peintre eut toujours son atelier de travail, et le Palais Garnier.

Dernier volet de la série, une immersion sensible dans les pas de jeunes artistes qui s’affirment entre ambitions, tournants et questionnements.