Le samouraï Shinbei Uryu dénonce la corruption de son supérieur mais sa démarche est rejetée. Il est expulsé du clan. Peu de temps après, sa femme Shino tombe gravement malade et meurt. Juste avant sa mort, elle demande à Shinbei Uryu de lui faire la promesse de regagner le clan et d'aider Uneme Sakakibara. Shinbei Uryu et Uneme Sakakibara furent autrefois des amis, mais ils sont devenus des rivaux pour gagner l'affection de Shino. Uneme Sakakibara est également lié à l'exil de Shinbei Uryu.

Kyoto, au XVIIe siècle. Ishun est un grand parcheminier qui vit avec sa seconde épouse, Osan, plus jeune. Cette dernière ne l'a épousé que pour sauver sa famille du déshonneur. Amoureuse du secrétaire de son mari, qui doit fuir après avoir commis une escroquerie, elle le rejoint. Tous deux s'unissent pour tenter d'échapper à leur destin tragique : la crucifixion qui châtie l'adultère.

Le maître légendaire du thé Sen no Rikyu est confronté aux prétentions irréalistes de son seigneur belliciste.

Une femme et sa belle fille sont violées et tuées par un groupe de samouraïs. Ivres de vengeance, elles renaissent sous la forme d'esprits chats et jurent de tuer tous les samouraïs. Jusqu'au jour où leur victime désignée est le fils de la femme, et donc mari de la jeune femme, revenu de la guerre.

L'histoire raconte l'histoire d'un groupe de samouraïs qui se sont retrouvés sans chef (devenus ronin) après que leur daimyo (seigneur féodal) ait été forcé de commettre un seppuku (suicide rituel) pour avoir agressé un fonctionnaire de la cour nommé Kira Yoshinaka, dont le titre était Kōzuke no suke. Les ronin ont vengé l'honneur de leur maître après avoir patiemment attendu et planifié pendant plus d'un an pour tuer Kira. À leur tour, les ronin ont eux-mêmes été contraints de commettre un seppuku pour avoir commis le crime de meurtre.

Dans le Japon du XIXe siècle, un jeune paysan arrive à bout de force dans un village pour se faire embaucher comme élève-samouraï. Il fait la rencontre d’un vagabond. Tous deux vont se trouver rapidement mêlé dans les complots et intrigues des seigneurs du village. Dans le genre des films de samouraï (genre aussi appelé « chambara » par les amateurs), Kill - La forteresse des samouraïs est assez méconnu ce qui semble assez injuste, au vu de sa qualité. Le film de Kihachi Okamoto est assez remarquable par le subtil équilibre entre dramatique et comique, s’appuyant sur ses deux personnages de premier plan, aux caractères et tempéraments franchement opposés. L’histoire est assez prenante. Il faut ajouter à cela une très belle photographie en noir et blanc et une mise en scène parfaitement maitrisée. De façon un peu surprenante, certains plans et effets, ou encore la musique, peuvent évoquer les westerns italiens de la même époque.

Izo, samouraï vagabond, tombe sous l'influence du chef de clan Tosa, qui va l'amener à commettre une série d'assassinats plus brutaux les uns que les autres. Il s’aperçoit alors qu'il est totalement manipulé par le clan Tosa, devenu le bras armé des atrocités fomentées par son maître : il va alors se rebeller et devenir son premier opposant...

Au XIIe siècle, les guerres de clans font rage au Japon. Le prince Yoshitsune est pourchassé par son frère aîné, jaloux de sa récente victoire sur le clan Heike. Yoshitsune prend la fuite, aidé par six fidèles vassaux déguisés en moines pour tromper leurs poursuivants. Mais avant de quitter le territoire, il leur faut traverser le poste-frontière d’Ataka, minutieusement gardé par les hommes de son frère…

Zatoichi, dont la tête a été mise à prix, vient trouver refuge dans un village qu’il visita 3 ans auparavant. Mais l’endroit est depuis tombé entre les mains du parrain Masagoro, réputé pour avoir dérobé une cargaison d’or du Shogun. Masagoro vient d’embaucher un mystérieux garde du corps (Toshiro Mifune), amoureux de la maîtresse d’un marchand, père et rival de Masagoro. Ichi se fait recruter par ce marchand et commence à entretenir une étrange amitié / rivalité avec le garde du corps. La guerre entre les clans gronde...

Après quelques jours passés en prison, Ichi (Shintarô Katsu) poursuit son errance à travers le Japon. Il séduira une yakuza, fera la connaissance d’un rônin peintre et poète à ses heures (Ken Ogata) et, bien sûr, ne manquera pas d’aller faire un tour dans les maisons de jeu histoire de se remplir les poches. Le masseur finira enfin par trouver un peu de repos auprès des enfants d’un orphelinat. Mais comme toujours, il sera amené à faire couler le sang pour défendre sa propre vie ou protéger les innocents.

Le sort du monde de Tokugawa est en jeu alors que Yagyu Jubei est envoyé en mission pour découvrir ce qui est arrivé à dix espions du shogun qui ne sont jamais revenus. Appelé de sa semi-retraite par le shogun Iemitsu, Jubei est invité à prendre la route et à enquêter sur un clan censé préparer des explosifs pour une rébellion. Avec l'aide d'une belle ninja, ils se dirigent vers le domaine de Shirakawa où les compétences de combat des deux sont testées à maintes reprises alors qu'ils s'efforcent de détruire une conspiration qui pourrait apporter une nouvelle ère des provinces en guerre.