Coup de projecteur sur Parchís, un groupe musical d'enfants créé par une maison de disque en Espagne, et qui a connu un succès sans précédent dans les années 80.

Un portrait de Gaétan Dugas, identifié à tort comme le "patient zéro" de l'épidémie de sida, doublé d'une enquête sur l'homophobie et la désinformation.

Au début des années 80, l'escalade sportive en était à ses balbutiements. Les voies boulonnées commençaient à faire leur apparition, les murs d'escalade en salle tels que nous les connaissons aujourd'hui n'avaient pas encore été inventés et il n'existait pas d'athlète pro. Au cours de cette période, les cotations ont augmenté de façon exponentielle, passant de 7b+ à la pointe de la technologie à 9a devenant la nouvelle norme mondiale à la fin des années 80. En une si courte période, le sport a changé au point d'être méconnaissable et, en Grande-Bretagne, a été alimenté par un petit groupe de grimpeurs qui feraient n'importe quoi pour grimper à plein temps : dormir dans des hangars sous les rochers, voler à l'étalage pour se nourrir et se vêtir, et vivre des allocations de chômage. . Comme l'illustre ce film réalisé par Nick Brown, ces grimpeurs vivaient en dehors de la société et sont devenus les figures les plus influentes de l'histoire de l'escalade sportive britannique.

Violences policières raconte les histoires et les combats de familles touchées par les violences policières. Leur frère, leur père, leur proche est mort après une intervention des forces de l’ordre. Dans ce documentaire de 50 minutes, cinq familles retracent les circonstances de ce décès et racontent leur combat pour obtenir vérité et justice. Chaque année, la liste de ces morts s’agrandit. Il est troublant de constater que les histoires de ces défunts et de leurs proches présentent une multitude de similitudes. Un chemin de croix sur lequel ces familles endeuillées avancent chacune à leur rythme, et où les obstacles sont nombreux. Ce film est surtout une plongée dans l’intimité de ces cinq familles, qui peinent à surmonter le deuil et à reprendre leur vie sans leurs proches : Cédric Chouviat, Allan Lambin, Claude Jean-Pierre, Wissam El-Yamni et Gaye Camara.