Quand Frank Gehry, un des architectes les plus ingénieux de notre époque demande à son ami, par ailleurs grande pointure du cinéma, de réaliser un long-métrage sur sa vie et son Œuvre, on obtient un doux mélange de didactisme et d’intimisme. Sydney Pollack, cinéaste néophyte en documentaire et en architecture, tente de nous livrer les clefs des œuvres et du processus de création de Frank Gehry dans une atmosphère décontractée. Il choisit les esquisses de l’architecte comme point de départ de ce documentaire. Sous l’œil effaré du spectateur, des gribouillis plus qu’abstraits se transforment en bricolage en carton puis en immenses bâtiments qui s’érigent dans les paysages urbains des quatre coins du monde.
Nick Fury est l'ancien directeur du S.H.I.E.L.D. (Strategic Homeland Intervention, Enforcement, and Logistics Division), maintenant à la retraite dans le Yukon, depuis la fin de la Guerre froide. On lui propose de reprendre du service afin de mettre hors d'état de nuire les agents de l'organisation terroriste HYDRA, dirigée par les enfants du baron Wolfgang von Strucker, l'ancien nazi que Fury a jadis combattu. HYDRA a synthétisé un agent pathogène, le « virus de la Tête de mort », et menace de le répandre dans Manhattan à partir de missiles cachés dans un camion-poubelle, à moins que ne lui soit versé un milliard de dollars. Les enfants du baron von Strucker veulent édifier un quatrième Reich.
Une comète doit passer près de la Terre mais les calculs montrent qu'elle ne fera que la frôler en causant des interférences magnétiques. Un astrophysicien, James Mayfield, étudie de près ces perturbations car il pense que la comète pourrait tout de même frapper la Terre. Lorsqu'un fragment de l'astéroïde se détache et s'écrase en Alaska, James commence à soupçonner que les effets de la catastrophe vont bien au-delà des dégâts constatés au sol. En effet, le choc a provoqué un glissement de l'axe des pôles : les perturbations magnétiques vont s'aggraver et pourraient même entraîner la disparition de toute vie sur Terre...