Le slow est un rituel en voie de disparition. À travers l'évocation du genre musical sans équivalent, Slow : une histoire d'amour raconte comment une simple danse a codifié les rencontres amoureuses depuis la seconde moitié du 20è siècle. Exploration sensitive unique, ces quelques minutes sur la piste qui marquent profondément au coeur, révèlent notre histoire du rapport à l'autre dans ce qu'il a de plus intime et de plus universel.

National Gallery s'immerge dans le musée londonien et propose un voyage au cœur de cette institution peuplée de chefs d'œuvre de la peinture occidentale du Moyen-âge au XIXe siècle. C’est le portrait d'un lieu, de son fonctionnement, de son rapport au monde, de ses agents, son public, et ses tableaux. Dans un perpétuel et vertigineux jeu de miroirs, le cinéma regarde la peinture, et la peinture regarde le cinéma.

Plongée très intime dans l'univers de la chanteuse Madonna, à travers les différentes étapes de tournée mondiale « The Blonde ambition tour » de 1990.

Une chaise pour un ange va à la rencontre de la culture des Shakers, cette communauté religieuse protestante américaine qui a connu son apogée au 19e siècle, mais qui s'est presque éteinte depuis, laissant derrière elle une multitude de créations originales dans les domaines du design de meubles, de l'architecture et du chant. Inspiré par la culture shaker, Tero Saarinen a créé la chorégraphie Borrowed Light, une oeuvre sur la vie en communauté et le sacrifice individuel. Tourné en Finlande et aux États-Unis, avec des extraits de Borrowed Light et des entrevues exclusives, le film examine le paradoxe de l'héritage culturel de cette secte, dont le credo n'accordait aucun intérêt à l'art, ni même à la simple idée de beauté.

S’il y eut un "peintre des danseuses", ce fut bien Degas. Ce documentaire montre avec quel génie Degas a réussi à capter l’essence de leur art. Aucun peintre n’est aussi universellement associé à l’univers de la danse qu’Edgar Degas. Plus de la moitié de son immense production – dessins, gravures et peintures confondus – est consacrée aux ballerines et petits rats. Aucun artiste n’a sans doute observé les danseuses de si près, mieux compris leur nature et mieux rendu leurs mouvements. "La Danse et Degas" est moins un film sur l’histoire de l’art qu’un film sur le ballet et les ballerines, et sur le génie particulier avec lequel Degas a réussi à capter l’essence de leur art. Le film met en scène le Paris de Degas, ramené à deux lieux clés : Montmartre, où le peintre eut toujours son atelier de travail, et le Palais Garnier.