Les films muets laissent place aux films parlants - et le danseur devenu chanteur (Gene Kelly) est lui aussi pris dans cette transition compliquée, tout comme son ami (Donald O’Connor), sa petite amie (Debbie Reynolds) et sa désagréable co-star (Jean Hagen).

Pour Naina Catherine Kapur (Preity Zinta), jeune immigrante indienne vivant à New York, la vie n’est pas très gaie et ne l’a d’ailleurs jamais été, depuis la mort de son père. Entre les chamailleries constantes à l’intérieur de sa famille, originaire du Punjab et à moitié catholique, les attentions que nécessitent son petit frère et sa petite sœur, les sautes d’humeur de sa grand-mère et les ennuis financiers de sa mère (Jaya Bachchan) qu’elle tente d’aider comme elle peut, la jeune fille n’a pas de temps pour elle. Elle ne sort jamais et n’a pas l’occasion de se faire plaisir. Naina a presque 24 ans, c'est une jeune fille très sérieuse et elle est assez ennuyeuse.

Pilote et secouriste au sein de l’Indian Air Force, Veer risque sa vie pour sauver celle des autres. Jusqu’au jour où il porte secours à une jeune fille, Zaara, belle, rebelle, et légèrement inconsciente. Elle a quitté son Pakistan natal afin de venir en Inde accomplir les dernières volontés de sa nourrice. Veer tend la main à Zaara, sans savoir que son destin va en être changé à jamais.

Cherbourg, au mois de novembre 1957. Geneviève et sa mère tiennent un magasin de parapluies. La jeune fille est amoureuse de Guy, un jeune garagiste, au grand dam de sa maman qui préfèrerait la voir épouser Roland Cassard, un riche diamantaire. Appelé sous les drapeaux, Guy s'apprête à partir pour l'Algérie. La veille de son départ, Geneviève se donne à lui et lui jure de l'attendre. Mais les mois passent et les lettres du jeune soldat se font de plus en plus rares. Enceinte, désœuvrée, pressée par sa mère, Geneviève consent finalement, la mort dans l'âme, à épouser Roland. Dix-huit mois après son départ, Guy revient à Cherbourg, blessé à la jambe…

Nous, les vivants parle de l'Homme, de sa grandeur et sa misère, sa joie et sa tristesse, sa confiance en soi et son anxiété. Un Homme dont nous voulons rire et pleurer à la fois. C'est tout simplement une comédie tragique ou une tragédie comique à notre sujet.

1955 : Les chantiers navals de Nantes sont en grève. Métallurgiste, François est en première ligne. Il loue une chambre à Mme Langlois qui l'aime bien mais refuse qu'il reçoive des dames. Aussi voit-il sa fiancée Violette dehors. Un jour, il rencontre la fille de Mme Langlois : c'est le coup de foudre.