"Pensées d'Alexandrie", "Bises du Caire"… C'est l'été. Ils ont pris leur voiture, roulé dans des autocars, volé dans des avions et visité appareil photo en bandoulière quelque contrée lointaine hérissée de monuments et autres "choses à voir", telles l'Égypte, la Grèce, l'Inde ou le Bordelais. Alors comme ils s'ennuient un peu loin de leur home sweet home, les Rouchon écrivent aux Brochon et réciproquement – on est polis tout de même! Ils s'envoient des cartes postales pas piquées des hannetons. Dans ces lettres du front de la société des loisirs, François Morel en "moqueur mélancomique" s'amuse avec un humour souvent tendre, parfois mordant, de ce besoin irrépressible de changer de décor pour finalement lorgner d'un oeil lassé les pyramides et tous ces siècles qui vous contemplent en songeant au repas du soir (le vin y est gratuit et à volonté) et aux amis restés au pays.

La Comédie presque française s'attaque à un autre classique de Molière, «L'école des femmes». Un fop comme un héros, une héroïne séduisante et une histoire d'amour contrariée : les ingrédients sont là, mais la mise en scène n'est pas classique. La troupe invite les spectateurs à une version Bollywood, basée sur la pièce de Molière.

En l'été 1593, le jeune poète et dramaturge au talent prometteur William Shakespeare, criblé de dette et harcelé par son commanditaire Henslowe, promet de lui livrer bientôt une nouvelle pièce, "Romeo et Ethel, la fille du pirate", dont il ne possède en fait que le titre. Lady Viola, qui vénère les sonnets de Shakespeare, rêve de devenir actrice, ce qui est rigoureusement interdit aux femmes. Qu'a cela ne tienne, elle se déguise en garcon et décroche le rôle de Roméo. William découvre vite l'identité de son jeune premier et en tombe follement amoureux.

Castella est un chef d'entreprise peu porté sur la culture. Pourtant, un soir, en allant par obligation assister à une représentation de "Bérénice", il tombe en adoration du texte et de l'actrice principale, Clara. Par une coïncidence, celle-ci va lui donner des cours d'anglais, nécessaires à son travail. Castella tente de s'intégrer à ce milieu artistique mais sans grand succès. On ne bouscule pas ainsi les cadres de références et les barrières culturelles sans faire d'histoires.

Après avoir été exclus successivement de huit établissements scolaires, Jonathan Trotz, un enfant adopté à l’histoire difficile, est accepté dans un nouvel internat à Leipzig, réputé pour son célèbre chœur de garçons. Dans cet établissement, il se lie d’amitié avec ses quatre camarades de chambrée, Martin, Uli, Kreuzkamm Junior et Matz, avec avec lesquels il fait bientôt les quatre cents coups. L’année sera riche en aventures pour Jonathan et ses nouveaux amis, entre la préparation du concert de Noël et la rivalité de leur bande avec celle des externes.

Berke Lawrence vient d'accomplir l'impensable : Allison, la plus belle fille de l'école, a accepté de sortir avec lui. Il n'en revient pas lui-même. Mais ce rêve s'avère éphémère. Allison vient de le laisser tomber pour le garçon le plus populaire du bahut. Berke n'a toutefois pas l'intention de baisser les bras et se montre prêt à tout pour reconquérir son coeur. Il échafaude alors un plan qui est le suivant : il abandonne l'équipe de basket-ball pour se joindre à la distribution de la pièce de théâtre "Le Songe d'une nuit d'été" dont Allison fait partie. Tous ses espoirs se portent sur Kelly, qui n'était autrefois que la petite soeur fatigante de son meilleur ami. Berke compte sur elle pour devenir le meilleur comédien de la troupe et ainsi remporter le rôle principal.

Paris, 1932. Grands bourgeois, les Galvoisier cherchent une demoiselle de compagnie pour leur fille Christiane. Ils ignorent que celle-ci a déjà commis le pire écart et est sur le point de ne plus pouvoir en dissimuler les suites. La nouvelle "demoiselle" est une vieille fille sèche, rébarbative, autoritaire, mais d'une haute moralité. C'est elle qui recevra l'aveu de la jeune fille qui songe au suicide ; la vieille fille va se faire la complice de l'adolescente. Enregistrée le samedi 26 octobre 1968 au Théâtre Marigny, à Paris.

Une adaptation théâtrale de la célèbre bande dessinée qui ravira non seulement les millions de «fans» de Robert et Raymonde mais aussi les autres! D'ailleurs que deviennent-ils? Internet, télé, portable. Leur quotidien a bien changé! Mais ces nouvelles technologies leur apportent-elles «joie et bonheur»?... Et leur mariage? 20 ans déjà: Robert s'en moque, Raymonde fulmine. Leurs amis de toujours, Gisèle et René sauront-ils les aider à éviter le naufrage qui se prépare?... Les aventures rocambolesques de la famille Bidochon sont enfin adaptées au théâtre!

Tartuffe un homme hypocrite confit en fausse dévotion, accapare la confiance d'Orgon un bourgeois fortuné et entreprend de séduire sa femme Elmire. Ayant été démasqué par cette dernière, il s'efforce de précipiter la ruine de son bienfaiteur.

Marcel Pagnol, écrivain et cinéaste parmi les plus grands, et Jules Raimu, son ami et acteur fétiche devenu mythique, ont entretenu leur amitié par une remarquable relation épistolaire. Elle révèle la sensibilité, l'humeur changeante, l'espièglerie de la relation entre ces deux hommes hauts en couleurs, à travers les projets qu'ils ont menés ensemble jusqu'à la mort prématurée de Raimu. Jules et Marcel tisse ainsi la toile de leur éternelle amitié, profonde et féroce, mêlée de mauvaise foi truculente, de fâcheries épiques, d'admiration réciproque, de pudeur, d'humour, de souvenirs ... sans oublier de savoureuses envolées lyriques ou drôlatiques, ironiques ou émouvantes.

Philippe a une femme et une maîtresse : jusque-là tout va bien. Mais lassées du traitement qu'il leur accorde, chacune décide de goûter aux plaisirs de l'autre. Sa femme veut être traitée comme une maîtresse, et sa maîtresse comme une femme. C'est le Switch ! À partir de cet instant, la vie de Philippe va devenir beaucoup plus compliquée.