Le film de Georgi Daneliya « Afonya » a été un succès commercial inattendu en URSS. Le personnage principal « Afonya » Borshev est un plombier, qui passe sa vie avec des « copains » et fait la fête, dont il a du mal à se souvenir après des nuits de forte consommation d'alcool. Sa femme le quitte, son patron le met à l'épreuve, toute sa vie tombe en morceaux, mais il ne le voit pas. Afonya a rencontré Katya dans un club de danse, mais lui a peu prêté d'attention. Pourtant elle est celle qui peut le sauver ... Dans ce film Daneliya atteint un équilibre parfait de la satire et du drame.

Thelma Post, 93 ans, se fait arnaquer par un fraudeur au téléphone qui prétend être son petit-fils. C’est alors qu’elle se lance dans une quête périlleuse à travers la ville pour récupérer ce qui lui a été volé. Thelma est une histoire qui explore le vieillissement, la famille et l’autonomie tout en s’inspirant de films d’action comme Mission : Impossible. Basé sur une expérience vécue par la grand-mère du scénariste et réalisateur Josh Margolin, le film marque avec éclat le premier rôle principal de June Squibb en plus de 70 ans de carrière.

Afin de se mettre en faillite frauduleuse, un ancien producteur et un comptable joignent leurs efforts pour monter le spectacle théâtral le plus raté de tous les temps : « Le printemps d’Hitler ». Mais prise au second degré par les spectateurs, la pièce remporte un vif succès…

Un architecte médium arnaque les habitants de sa ville avec l'aide de ses amis revenants. Lorsque plusieurs habitants ont des infarctus, il est le coupable idéal aux yeux de la population. Il va devoir faire appel aux fantômes pour s'en sortir et affronter un véritable spectre-tueur.

Léonard Monestier, un homme d’affaires en perpétuelle ébullition, est affligé d’une excentrique épouse, Cynthia, dont la dernière passion est un coq, appelé Pouic‐Pouic, devenu son animal de compagnie. Cynthia se croit douée pour les opérations boursières et achète à un aigrefin des terrains, qui n’ont de pétrolifères que le nom, sur les bords de l’Orénoque. Lorsque Léonard l’apprend, il tente de faire racheter la concession par un naïf. Antoine, le soupirant transi de sa capricieuse fille Patricia, qui souhaite s’en défaire au plus vite, lui semble présenter les deux qualités essentielles à la réussite de son projet : il est riche et il est bête…

Une propriétaire d'hôtel impitoyable doit aider un phobique de l'engagement à organiser un mariage dans un endroit de rêve. Tout devrait bien se passer, non ?

Julien Pardot (Michel Serrault), marié, un enfant, employé d'une agence de publicité, est mis à la porte. Que faire ? Il n'a pas d'argent, pas de relations et ne sait rien faire. Il décide d'ouvrir un cabinet de conseils financiers. Les affaires ne démarrent. Julien est persuadé d'avoir le sens des affaires, mais comment convaincre ceux qui ont « l'argent » ? Il s'invente un associé Anglais, « Walter C. Davis » qui sera le « grand patron ». Suite à de bons placements boursiers, les clients affluent et veulent tous traiter avec Davis qui devient en peu de temps une figure respectée et affluente voire omnipotente des milieux bancaires et financiers. Nombreux s'inventent un passé relationnel avec Davis, alors que celui-ci n'existe pas... Mais « l'associé », qui accumule les succès, ne risque t'il pas de devenir encombrant pour Julien et échapper à son propre contrôle ?... Adaptation du roman « El socio » de Jenaro Prioto, édité en 1928.

Baltimore, 1963. Ernest Tilley et Bill « BB » Babowsky ne se connaissent pas mais exercent le même métier de vendeur en porte-à-porte. Ils habitent dans le même quartier et conduisent la même voiture. Lorsque l’un emboutit par accident la Cadillac de l’autre, ils deviennent les pires ennemis du monde. Débute alors une confrontation aussi terrible que ridicule.

Jez et Dylan, deux orphelins de vingt ans, estiment que leurs compétences ont toujours été sous-exploitées. Si Dylan est spirituel, Jez est un petit génie de l'informatique aussi peu loquace que timide. Les deux compères, qui rêvent de s'offrir un manoir à la campagne, décident de monter une arnaque. C'est au cours d'une de leurs petites escroqueries que débarque alors dans leur vie la délicieuse Georgie, aussi déterminée et inventive qu'eux mais nettement plus altruiste.

Tout commence par un contrat qu'acceptent un tueur à gages et son acolyte. Ce dernier apprend, très vite, que sa propre mort fait partie dudit contrat. Échappant de justesse au piège fatal dans lequel il a été attiré, il se réfugie dans une demeure luxueuse sur les collines. Le voici devenu malgré lui le kidnappeur de 2 otages : un insupportable vendeur d'art et sa fidèle secrétaire. Pour tout compliquer, débarquent la sœur du vendeur d'art et un écrivain, réalisateur suicidaire.

Cherchant de quoi payer la clinique privée où sa mère est hospitalisée en psychiatrie, Victor monte une redoutable escroquerie. Alors qu'il dîne dans les meilleurs restaurants, il fait semblant de s'étouffer et s'arrange pour que de bons Samaritains viennent à son secours : ces derniers se prennent alors d'affection pour lui et finissent par le couvrir de chèques. Son boulot est tout aussi surprenant puisqu'il endosse le costume d'un domestique irlandais du XVIIIème siècle dans un parc d'attractions historiques. Et lorsqu'il n'est pas en train de jouer les pèlerins, de s'étouffer en mangeant - ou encore de rendre visite à sa mère qui ne le reconnaît plus -, il participe à des thérapies de groupe pour obsédés sexuels.

Un Marine doit escorter une jeune et jolie détenue durant son transfert. Elle va tout faire pour s'échapper...

Pestario 'Pest' Vargas, petit artiste de Miami, est pourchassé par une foule d'écossais et un chasseur allemand, les uns pour remporter la prime de 50 000 dollars mis sur sa tête, le second pour, justement, sa tête...

En rentrant de vacances, Jenny et Steve retrouvent Sam, le père de Jenny, marié à Miranda, une femme aux pouvoirs étranges, une sorcière. Leur vie se trouve bouleversée, surtout lorsque se joint à la famille Priscilla, la fille de Miranda. Jenny décide d'engager un détective...