Léon est un tueur professionnel redoutable et insaisissable. Il vit seul à New York avec sa plante verte et ses habitudes jusqu'au jour où une petite Mathilda de douze ans sonne à sa porte et fait irruption dans sa vie.

Landon Carter est l'archétype du lycéen cool et superficiel américain. Il fait la connaissance de Jamie Sullivan, une jeune fille plutôt introvertie, douée d'un optimisme à toute épreuve et d'un sens de la répartie qu'elle utilise aux dépens de Landon.Alors que tout oppose ce chef de bande vantard et suffisant à la timide adolescente, la fascination cède progressivement la place à l'amour. Tournant le dos à ses anciens amis, trouvant un nouveau sens à sa vie, Landon est prêt à commencer une nouvelle vie avec Jamie, mais celle-ci refuse de s'engager.Landon apprend bientôt qu'elle est atteinte d'une maladie incurable. Landon et Jamie vont devoir apprendre à accepter la fatalité et profiter au jour le jour du peu de temps qu'il leur reste...

Edward n’est pas un garçon ordinaire. Création d’un inventeur, il a reçu un cœur pour aimer, un cerveau pour comprendre. Mais son concepteur est mort avant d’avoir pu terminer son œuvre et Edward se retrouve avec des lames de métal et des instruments tranchants en guise de doigts.

Bob Maconel est un employé désemparé ayant l'idée de tuer ses collègues. Cependant, lors d'une mauvaise journée, Bob passe de meurtrier potentiel à héros inopiné ; un de ses collègues est devenu fou et tire dans les locaux, avant que Bob ne le fasse. Bob contrecarre les plans du meurtrier en le tuant par l'arme à feu dont il voulait se servir. Il réussit également à sauver la vie de Vanessa. L'invisible individu est soudainement propulsé sous les feux du monde public, il est alors considéré comme un héros par ceux qu'il voulait tuer, promu en tant que "Vice-Président de la Pensée Créative" et reçoit des bénéfices en nature. Mais Vanessa, paraplégique, lui demande de l'aider à mettre fin à ses jours...

Lors d'un séjour en Suisse, la délicate et naïve Daisy Miller fait la connaissance d'un jeune aristocrate américain expatrié. Peu après, ils se retrouvent à Rome.

Hollywood, 1942. Le gouvernement américain presse le réalisateur d'origine hongroise Michael Curtiz, qui est sur le point de terminer le tournage de « Casablanca », d'accentuer le message de propagande du film afin de faire pencher l'opinion publique en faveur de l'intervention du pays dans la guerre en Europe.