Margot, Jérémy, Salomé, César, Sonia. Ils ont entre 18 et 50 ans. Tout les sépare, sauf l’urgence de se reconstruire et de restaurer la relation à l’autre que l’addiction a détruite. Solidaires, ils ont comme seules règles, le partage, l’honnêteté, l’authenticité, la sincérité, l’humanité. Une bande incroyable de vivants qui crie haut et fort qu’on s’en sort mieux à plusieurs que seul...
Elle a consacré près de six ans de sa vie au montage de Shoah, le film-fleuve passé à l’histoire du réalisateur Claude Lanzmann. Son nom : Ziva Postec. Cette dentellière de l’ombre a fait don d’elle-même au cinéma jusqu’à l’obsession. Depuis Jaffa, en Israël, elle déroule aujourd’hui ses souvenirs intimes liés à une entreprise de création hors du commun.
Décembre 1940 : un petit groupe de soldats soviétiques s’échappe de la ville assiégée de Vyazma. Alors qu’ils tentent de rejoindre leurs compagnons, ils se retrouvent piégés face à une unité spéciale de la Wehrmacht. Alors que le combat semble perdu d’avance, ils vont trouver une aide inespérée auprès d’un mythe: le Red Ghost. Un fantôme que personne n’a jamais vu et qui sème la mort parmi les Nazis.
Une jolie femme, divorcée, mère d'un enfant, travaille comme secrétaire dans un institut de recherche. Elle passe un diplôme en candidate libre. Tout cela semble tout à fait normal. En fait, elle éprouve de sérieuses difficultés: elle a un problème avec son ex-mari, son enfant traverse une période difficile, un flagorneur de l'institut fait pression sur elle, et la femme jalouse de son patron fait des rapports malveillants contre elle. Elle est obligée de se battre chaque instant et de transgresser ses propres principes pour survivre.