Sur une petite île isolée, une auberge sert de repère à un groupe de bandits. Pendant que les autorités surveillent étroitement ce point de relais, les bandits se prennent d’affection pour un jeune homme désespéré qui veut racheter son amoureuse vendue comme prostituée.
Une fille vivant d'escroquerie est kidnappée et retenue captive pour une étrange expérience. Elle est prisonnière de TAU, une intelligence artificielle avancée développée par Alex, son ravisseur. TAU commande un bataillon de drones et une maison futuriste intelligente. Une course contre la montre commence alors pour Julia, qui doit repousser les limites entre l'homme et la machine, se connecter à TAU et gagner sa liberté avant de subir le même sort que les précédents cobayes...
Un voleur meurtrier à la course avec butin volé force un pauvre éleveur de le guider à travers le désert vers le Mexique. Ils sont accompagnés est la femme de l'éleveur, qui se trouve être l'ancienne petite amie du tueur.
Mary Katherine Blackwood a dix-huit ans et vit au « château » avec sa sœur Constance. Elle déteste le bruit, les chiens et les êtres humains. Même les membres de sa famille. Mais, en réalité, ceux-ci sont morts. Mystérieusement. On dit qu'ils ont été tous empoisonnés. On dit que Mary Katherine pourrait être la meurtrière. On dit même qu'elle se change parfois en loup-garou. On dit tant de choses. On dit que l'horreur a toujours habité le « château ».
Une expérience scientifique consistant à soumettre un cadavre à une charge extrême d'électricité ravive accidentellement un criminel exécuté et le rend insensible au tort, lui permettant de se venger de ses anciens partenaires et de traiter de la même manière toute autre personne qui se met en travers de son chemin.
Martine accepte de passer la frontière avec l'argent d'un hold-up dont l'un de ses amis est l'organisateur.
Furieusement calme, c'est en effet le titre de ce 4e spectacle que nous offre François Morency. À la fois bouillant et parfaitement en contrôle, avec son efficacité légendaire, ce vétéran de l'humour nous amène cette fois à rire de la Peur avec un grand 'P': les siennes, les nôtres, les phobies; la peur du refus, de l'engagement, des préjugés et du vide... Dans ce spectacle le plus personnel en carrière, François adopte un ton plus chaleureux et intimiste.