La seule chose qui empêche Veronica d'intégrer l'université de Yale est son classement dans sa classe de lycée ; elle est deuxième. Quand elle élabore un plan pour faire élire son camarade Bernard au conseil scolaire local pour abolir le système de classement, leurs efforts peu orthodoxes inspirent tout le monde autour d'eux à voir la vie et l'amour sous un jour entièrement nouveau.

Sur une planète inconnue, une histoire se décline en trois chapitres respectivement consacrés au désir, à l’amour et à la solitude. Les étoiles tournent les unes autour des autres. Les feuilles tournoient comme un moulin à vent et font tomber les chevaux qui s’étaient posés dessus. L’obscurité abrite toujours de la lumière. Chaque touche de noir est empreinte de couleur. Et les étoiles scintillent.

Dans une boîte de nuit, Rudy Hirigoyen, incognito, prête sa voix au personnage d'un célèbre...chanteur ! Il tombe amoureux d'une belle fille mais sa maîtresse a un tempérament explosif...

Maglone passe le week end dans la vieille maison de campagne de sa meilleure et seule amie Juliette. Il y a avec elles les nouveaux copains de Juliette, que Maglone ne connaît pas encore. L’entente avec eux ne se fait pas: Maglone est jugée trop extrême, trop étrange, trop frontale. Le deuxième jour, elle est accusée de mensonge après avoir rapporté quelque chose à Juliette. Tout le groupe lui tombe alors dessus, et Maglone se retrouve seule, tandis que son amie se désolidarise d’elle, se laissant entraîner par les autres. Ravie que Maglone occupe la place à laquelle elle l’a toujours reléguée. Les rôles se sont échangés.

Un pianiste étranger venu visiter Paris se fait arnaquer par un jeune homme et sa soeur. Mais il ne tarde pas à tomber amoureux de celle-ci…

Le très doux et gentil Benoît est gardien d'une maison d'arrêt pas comme les autres située à Clouville, petit bourg de la France profonde des années 1950. Le surveillant chef se prend d'affection pour ses «pensionnaires» et a choisi la gentillesse et la diplomatie plutôt que la manière forte. Progressivement et avec la «liberté de mœurs» et une certaine ambiance délurée, la prison devient de plus en plus un refuge agréable et chaleureux, ce qui ne manque pas d'énerver considérablement la tutelle administrative de notre bon Benoît.