Ce sont les premières images tournées dans les maquis de l'ALN, caméra au poing, à la fin de l'année 1956 et en 1957. Ces images de guerre prises dans les Aurès-Nementchas sont destinées à être la base d'un dialogue entre français et algériens pour la paix en Algérie, en montrant l'existence d'une organisation armée proche du peuple. Trois versions d'Algérie en flammes sont réalisées : française, allemande et arabe. Dès la fin du montage, le film circule sans aucune coupure à travers le monde, excepté en France où la première projection a lieu en Sorbonne occupée en 1968. Certaines images du film ont circulé et se retrouvent dans des films, notamment des films algériens. À cause de l’émoi provoqué par ce film, il est obligé de passer dans la clandestinité pendant 25 mois. Après la déclaration d’indépendance, il fonde le premier Centre Audiovisuel Algérien.

Mamady Keita, l'un des grands maîtres de la percussion africaine (un djembefola), rentre au pays, à Balandougou, dans la région de Malinké (Guinée). Émotion des retrouvailles, rencontres mêlées de rires et de larmes, de musique et de danse avec des artistes mais aussi des villageois qui l'ont aidé à devenir cet artiste à la stature internationale.

Dans ce drame animalier, quand la saison sèche se prolonge, les troupes, troupeaux et meutes peuplant le désert du Kalahari doivent compter sur les leurs pour survivre.

À la découverte des peuples autochtones africains, leurs traditions, leurs mœurs, leurs modes de vie. Ces héros ont pour noms : les Bochimans, les Pygmées, les Berbères nomades, les Surmas, les Hamers, les Himbas, les Yorubas, les Dogons… Tous vivent hors du temps et de l’occidentalisation. Tous préservent les coutumes de leurs ancêtres, croient en leurs propres dieux et protègent leur univers de la mondialisation.