Dans les années 1970, Miklo, issu d'un métissage américain et mexicain, est en liberté conditionnelle. Lorsqu'il frappe son père à Las Vegas, il retourne immédiatement dans son quartier d'origine à East Los Angeles. Il y retrouve sa famille maternelle et mexicaine, dont principalement Paco et Cruzito, ses cousins. Malgré sa peau blanche, Miklo reste un chicano, mais lorsqu'avant la fin de sa probation il veut son tatouage "Vatos Locos" et que pour cela il doit faire ses preuves, il n'hésite pas attaquer un gang rival, ce qui va engendrer une guerre et la séparation des trois chicanos.

Neil McCauley est un braqueur qui a de l'expérience. Il veille, au cours de ses vols, à ne pas commettre d'impairs. Ses complices n'ont pas autant de scrupules ni de «conscience professionnelle». Lors d'une opération pourtant bien planifiée, l'un d'entre eux tire sur deux vigiles. Ce double meurtre intéresse au plus au point le lieutenant Hanna, qui ne met guère de temps à identifier McCauley comme étant le cerveau de la bande. Les deux hommes apprennent à se connaître par dossier et surveillance interposée. A tel point qu'il finissent par se rencontrer. Chacun jure alors de mettre l'autre en échec. Un duel s'engage, à la limite de la légalité.

Jimmy Doyle et Buddy Russo forment la meilleure équipe de la brigade des stupéfiants de New York. Une de leurs enquêtes les mène à une filière française, dont l'un des relais serait une boutique de confiserie à Brooklyn…

Quatre copains dissipés d'une école catholique de New York ont une passion en commun: le basket. Lorsque Bobby meurt d'une leucémie, Jim et ses copains sont confrontés à la dure réalité de la vie qui leur apparaît de plus en plus absurde. Jim se confie à son journal intime, mais l'écriture ne l'empêche pas de se droguer. Sa mère finit par le mettre à la porte. Il continue d'écrire, mais les pensées qu'il consigne dans son journal prennent une tournure surréaliste, témoignant au quotidien de sa descente aux enfers.

Une jeune femme, Alex, se fait violer par un inconnu dans un tunnel. Son compagnon Marcus et son ex-petit ami Pierre décident de faire justice eux-mêmes.

En 1966, dans la petite ville de Tulsa en Oklahoma. Ponyboy, Sodapop et Darrel appartiennent à la bande des Greasers, des jeunes délinquants issus des quartiers défavorisés. Leurs rivaux sont les Socs, des fils de bourgeois. Suite à une bagarre violente, Ponyboy et Johnny tentent d'échapper à la police.

Dans quelques jours, Liam aura seize ans. Jean, sa mère qui est en prison, doit être libérée à temps pour l'anniversaire de son fils. Liam rêve d'une famille comme il n'en a jamais eue et redoute l'influence de son grand-père, comme celle de Stan, le compagnon de Jean. Il veut un foyer, un endroit sûr pour sa mère, sa soeur Chantelle et lui-même. Encore faut-il trouver de l'argent et, pour un adolescent sans le sou, ce n'est pas une mince affaire. Avec ses amis, Liam monte quelques combines, mais les ennuis ne vont pas tarder à commencer...

Les explosifs Riggs et Murtaugh mettent à jour un énorme trafic de drogue dirigé par Arjen Rudd, de l'ambassade sudafricaine. Ce n'est certainement pas l'immunité diplomatique qui va les géner, mais peut-être plutôt ce bavard de Léo Getz, petit comptable magouilleur dont ils sont chargés de la protection.

Tulsa, Oklahoma. Petite frappe locale, Rusty James rêve d’égaler les exploits de son grand frère, le Motorcycle Boy, légendaire chef de bande qui a choisi de s’éclipser. En son absence, pour être à la hauteur de sa réputation et se tailler la part du lion, Rusty se frotte aux gangs rivaux… Un soir, une rixe tourne mal. Le voyou est gravement blessé et ne doit son salut qu’à l’intervention inattendue de son aîné. Mystérieux et charismatique, le Motorcycle Boy est de retour chez lui…

Dans un bidonville aux abords de Johannesburg, en Afrique du Sud, un jeune homme de 19 ans orphelin a occulté tout souvenir de son passé, jusqu'à son propre nom. Il s'appelle donc Tsotsi, qui signifie "voyou", "gangster" dans le jargon des ghettos. Sans nom, sans passé, sans ambition, il n'existe que dans un présent plein de colère.Il dirige une bande de marginaux : Boston, un instituteur raté ; Boucher, un meurtrier de sang-froid ; et Gorille, un costaud à l'intelligence très moyenne. Lors d'une soirée arrosée, Tsotsi tabasse Boston dans un accès de violence extrême, puis il disparaît dans la nuit, traverse le bidonville et se retrouve dans une banlieue aisée.Une femme descend de sa BMW et tente en vain d'ouvrir le portail de sa maison. Tsotsi sort son arme, l'agresse, tire et s'échappe avec la voiture. Un enfant pleure sur la banquette arrière...

"On ne partage pas un empire d'une poignée de main, on le découpe au couteau." Fresque brutale et violente, Gomorra décrit avec une incroyable précision les cercles infernaux de la Camorra napolitaine pour mieux nous y entraîner. Gomorra est tiré du best-seller de Roberto Saviano et s'inspire de faits réels. Le pouvoir, l’argent et le sang. Telles sont les “valeurs” avec lesquelles les habitants de la province de Naples et de Caserta doivent se confronter chaque jour. Ici, les gens n’ont pas le choix, ils sont forcés d’obéir aux règles du système, la Camorra, et il faut avoir une sacrée chance pour pouvoir seulement penser à mener une vie “normale”.

007 est appelé à la rescousse pour mettre fin à l'hécatombe meurtrière qui décime les agents secrets britanniques. Enquêtant à New York, dans le quartier de Harlem, il affronte un caïd de la drogue, le redoutable Docteur Kananga et sa comparse, l'étrange Blanche Solitaire.

Menacée de mort, perdue à des kilomètres de toute civilisation, Emily (Jean Seberg), la jeune épouse d’un haut fonctionnaire d’Interpol, ne doit son salut qu’à l’intervention de Killian (Stephen Boyd), un homme prêt à tout pour réduire à néant un gang de trafiquants de drogue. Une véritable guerre dans laquelle il implique Emily, propulsée malgré elle dans un monde de violence et de corruption qui lui fera comprendre que son mari n’est pas vraiment le policier incorruptible qu’il semblait être.

Né en 1855, Ned Kelly devient l'ennemi public numéro un en Australie après avoir tiré sur un policier qui appréhendait son frère Dan. Avec ce dernier et deux autres complices, il fonde un gang qui sème le trouble de 1878 à 1880. Ned Kelly se distingue des autres bandits par son accoutrement quelque peu original : il porte une armure "faite maison", qui lui sert de gilet pare-balles, ainsi qu'un heaume de chevalier fabriqué par ses soins. Par ailleurs, comme Robin des Bois, il vole uniquement les riches pour donner aux pauvres.

Tout d'abord il y avait Kidulthood alors Adulthood est maintenant Noel Clarkes fraternité dernière tranche avec Sam face au nouveau monde, il se rend compte qu'il est également livré avec de nouveaux problèmes et de nouveaux défis auxquels il doit faire face à ce qu'il sait, il faudra de vieux amis pour l'aider à survivre à de nouveaux dangers.

La police enquête sur une étrange affaire de crimes. Ceux-ci ressemblent étonnamment à ceux commis quelques années plus tôt par le Docteur Mabuse. Or celui-ci est enfermé dans un asile dirigé par le Dr Pohland. Lohmann, qui dirige l'enquête, tente de démasquer le cerveau et l'investigateur de ces crimes avec l'aide de Jonny Briggs...