Rencontre en toute intimité avec la chanteuse Amel Bent lors d'une performance immersive et sans public, un événement unique grâce à une scénographie conçue sur mesure à l'aide de vidéos et d'un light show inédits. La set list de cette artiste, révélée en 2004 par son passage dans "Nouvelle Star", retrace les temps forts de sa brillante carrière, de ses débuts, avec "Un jour d'été", son tout premier album, jusqu'à "Vivante", son opus solo le plus récent, sorti en 2021. Une belle façon de de pénétrer son univers personnel.
L'ensemble présente une compilation de moments forts de concerts capturés dans le monde entier, sélectionnés personnellement par Taylor, May et Lambert parmi plus de 200 représentations qu'ils ont donnés, dont plusieurs sont disponibles ici pour la toute première fois.
Barack Obama était passé quatre jours auparavant pour une visite historique à Cuba. Simple chauffeur de salle des Rolling Stones, ont plaisanté les mauvais esprits. Le concert gratuit donné en plein air à la Ciudad Deportiva de La Havane le 25 mars 2016 a été un événement pour plus d’un million de spectateurs, qui n’avaient jamais vu de concert de rock d’une telle ampleur. Les Stones ont été à la hauteur de leur légende en interprétant leurs succès mémorables tels que "Jumpin' Jack Flash", "Paint it Black", "Miss You", "All Down the Line", "Satisfaction" ou le non moins mythique "Sympathy for the Devil" – un clin d'œil peut-être au Vatican, qui avait protesté contre la tenue du concert un Vendredi saint. Mick Jagger, en chemise de satin rose indien, avait déclaré dès sa montée sur scène : "Nous y voilà enfin ! Nous sommes sûrs que cette soirée va être un moment inoubliable, tant pour vous que pour nous… Les temps changent."
Après Elton John et Paul Simon, Joan Baez, qui a fêté en janvier 2020 ses 79 ans, a choisi de tirer sa révérence scénique lors d’une tournée planétaire. Après six décennies d’une carrière jalonnée de trente albums et d’infatigables combats pacifistes, la reine du folk, à l’élégance intacte, a interprété, pieds nus et guitare en bandoulière, les standards de sa vie devant le public ému de l’Olympia, à Paris. De son timbre désormais délicatement voilé – la fragilité de ses aigus l’ayant poussée à mettre un terme à sa carrière –, Joan Baez a ainsi entonné les immortels "Don’t Think Twice, it’s All Right" de Dylan, "Farewell, Angelina" ou "Diamonds and Rust", en duo avec Grace Stumberg, avant un final en apothéose au son de "Here’s to You", hymne mondial en faveur des droits civiques, repris en chœur par une salle au comble du bonheur.