Guido Magnone dessine à la main des boîtes en carton pour la petite entreprise de ses parents. Une amie artiste peintre aime son coup de pinceau et le pousse à se présenter aux Beaux Arts. Il passe un concours externe, le remporte, se prend d’amitié pour les sculpteurs César et Féraud, des surréalistes, une poignée de bohèmes. Il découvrira ensuite la montagne et devient rapidement l'un des meilleurs grimpeurs de sa génération. Il a fait des conquêtes prestigieuses comme la face ouest des Drus dans les Alpes, les premières ascensions du Fitz Roy en Patagonie avec Lionel Terray ou du Makalu dans l'Himalaya... Magnone participe également à la création de l'UCPA et sera président du Groupe de Haute Montagne de 1961 à 1965. À partir de 1977, Guido retourne à sa première passion : la sculpture, pour s'y consacrer pleinement vers 1990. Il recommence à exposer dès 1996. En 2002, il expose ses sculptures à Paris, Bourg-la-Reine, Aoste puis à Étroubles en 2009.
Depuis des siècles, le portrait reste une inépuisable source d’inspiration. Plongée dans l’oeuvre de femmes artistes qui, de Paula Modersohn-Becker à Frida Kahlo en passant par Lotte Laserstein, se sont brillamment illustrées dans l’exercice.