1955 : Alain Resnais, à la demande du comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, se rend sur les lieux où des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont perdu la vie. Il s'agit d'Orianenbourg, Auschwitz, Dachau, Ravensbruck, Belsen, Neuengamme, Struthof. Avec Jean Cayrol et l'aide de documents d'archives, il retrace le lent calvaire des déportés.
Padre Pio, l’un des plus grands saints de l’histoire, canonisé par saint Jean-Paul II, a été mis sur écoute dans le confessionnal et accusé d’avoir des relations sexuelles avec ses filles spirituelles. Il a subi une persécution acharnée de la part de certains hommes d’Église. Le documentaire propose, à la manière d’un thriller, des témoignages et des documents jamais divulgués sur le complot mené contre ce grand mystique qui a porté les stigmates du Christ pendant 50 années consécutives.
L'arrivée d'un train en gare de La Ciotat, ou L'arrivée d'un train à La Ciotat, est un film français réalisé par Louis Lumière en 1895, sorti en janvier 1896, dont il existe plusieurs versions.
Seul film documentaire de Luis Buñuel, tourné en 1932 dans la région de Las Hurdes (Estrémadure), à partir de la thèse ethnographique de Maurice Legendre, directeur de l'Institut Français de Madrid, « Las Jurdes : étude de géographie humaine » (1927), « Terre sans pain » ne fut sonorisé qu’en 1937 puis en 1996 lorsque Buñuel décida de diffuser une version non censurée du film avec son producteur Pierre Braunberger. Remarquable par son sujet, la misère en milieu rural, peu traité à l’époque, par son montage (fait par Buñuel « sur une table de cuisine, à Madrid »), l'usage du gros plan, de la piste sonore et par la place assignée au spectateur par le film, le film continue à surprendre aujourd’hui encore.
La Sortie de l'usine Lumière à Lyon est un film français réalisé par Louis Lumière, sorti en 1895, qui existe en au moins trois versions, dont l'une fait partie des dix films montrés au Salon indien du Grand Café à partir du 28 décembre 1895. Cette "vue Lumière", qualifiée non sans humour par l'historien du cinéma Georges Sadoul comme étant "presque une bande publicitaire", est considérée par de nombreux historiens du cinéma comme le premier film de l'Histoire.
Portrait d'un peintre imaginaire à partir de la vie et de l'œuvre d'Antoine Wietz.