La Comédie presque française s'attaque à un autre classique de Molière, «L'école des femmes». Un fop comme un héros, une héroïne séduisante et une histoire d'amour contrariée : les ingrédients sont là, mais la mise en scène n'est pas classique. La troupe invite les spectateurs à une version Bollywood, basée sur la pièce de Molière.

Les mésaventures de Max Fischer, élève de la Rushmore Academy. Personnage hors normes, génie fougueux et brouillon, Max ne peut fournir qu'un minimum d'efforts à ses études et s'est résigné à devenir l'un des pires cancres de son établissement. En dépit de ses échecs scolaires et des admonestations répétées de son directeur, Rushmore n'en reste pas moins à ses yeux un paradis et un sanctuaire idéal pour exercer en toute liberté son inlassable créativité.

Un directeur d'une compagnie théâtrale a beaucoup de mal avec sa dernière production. La pièce ressemble à un désastre, ce qui n'est rien comparé à ce qui se passe en coulisses.

Castella est un chef d'entreprise peu porté sur la culture. Pourtant, un soir, en allant par obligation assister à une représentation de "Bérénice", il tombe en adoration du texte et de l'actrice principale, Clara. Par une coïncidence, celle-ci va lui donner des cours d'anglais, nécessaires à son travail. Castella tente de s'intégrer à ce milieu artistique mais sans grand succès. On ne bouscule pas ainsi les cadres de références et les barrières culturelles sans faire d'histoires.

Hélène, la trentaine, annonce à Marc, un homme plus âgé partageant sa vie depuis dix ans, qu’elle le quitte pour Félix, l’ami d’enfance de ce dernier. Pour Marc, cette rupture est d’autant plus difficile qu’elle remet tout en cause : sa plus grande histoire d’amour et l’amitié de toute une vie.

Paris, 1932. Grands bourgeois, les Galvoisier cherchent une demoiselle de compagnie pour leur fille Christiane. Ils ignorent que celle-ci a déjà commis le pire écart et est sur le point de ne plus pouvoir en dissimuler les suites. La nouvelle "demoiselle" est une vieille fille sèche, rébarbative, autoritaire, mais d'une haute moralité. C'est elle qui recevra l'aveu de la jeune fille qui songe au suicide ; la vieille fille va se faire la complice de l'adolescente. Enregistrée le samedi 26 octobre 1968 au Théâtre Marigny, à Paris.