Les films muets laissent place aux films parlants - et le danseur devenu chanteur (Gene Kelly) est lui aussi pris dans cette transition compliquée, tout comme son ami (Donald O’Connor), sa petite amie (Debbie Reynolds) et sa désagréable co-star (Jean Hagen).
Aladdin, un jeune orphelin chapardeur, fait équipe avec Jasmine, une princesse astucieuse et sure d’elle, pour empêcher le sorcier maléfique Jafar de s’emparer du royaume. En chemin, il prend confiance en lui grâce à un génie métamorphe facétieux, dont les trois souhaits peuvent tout changer.
À la fin du XIXe siècle, dans le Paris de la Belle Époque, Christian, un jeune poète désargenté, s'installe dans le quartier de Montmartre. Il découvre un univers où se mêlent sexe, drogue et french cancan, mais se rebelle contre ce milieu décadent en menant une vie de bohème. Christian rêve d'écrire une grande pièce, et le peintre Henri de Toulouse-Lautrec est prêt à lui donner sa chance. Celui-ci a besoin d'un spectacle grandiose pour le Moulin Rouge et le poète est embauché pour rédiger le livret de la revue. C'est là qu'il tombe amoureux de la courtisane Satine, la star du prodigieux cabaret....
Andy part en colonie de vacances et laisse ses jouets à la maison. Les choses se gâtent quand le collectionneur Al McWhiggin kidnappe Woody. Dans l’appartement d’Al, Woody découvre qu’il est un objet de collection d’une émission des années 50, il rencontre d’autres jouets : Jessie, Pile-Poil, Papi Pépite. Buzz et les autres vont tenter de sauver Woody, avant qu’il ne devienne une pièce de musée.
Charlie, enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries.
Lorsqu'il acquiert un autre type d'émission pour sa station, un sordide programmateur de télévision par câble commence à voir sa vie et l'avenir des médias déraper dans une nouvelle réalité terrifiante.
Antoine tombe amoureux de Colette, mais elle le traite en copain. Deuxième volet du cycle Antoine Doinel initié avec le film Les 400 Coups.
Entre Annaluise, surnommée Petit Point, et Antoine, l'amitié ne connaît pas les frontières de classes. Les parents de la première sont aisés, mais travaillent beaucoup et ne sont presque jamais à la maison, la laissant aux bons soins de leur jeune fille au pair française. Quant à Antoine, il vit seul avec sa mère malade, depuis que son père s'est évaporé dans la nature. Pour rapporter un peu d'argent à la maison, Antoine travaille tous les soirs chez un marchand de glaces, ce qui l'épuise.
Stanley Ipkiss, modeste employé de banque, passionné par l’univers de Tex Avery, trouve un masque ancien aux pouvoirs surnaturels. Il est néanmoins partagé entre devenir cette créature verte sûre d’elle ou rester le timide Stanley Ipkiss, incapable d’aborder la magnifique chanteuse de cabaret Tina Carlyle.
Alors que les parents de Lara sont tous deux sourds, leur fille entendante est leur lien avec le monde : Lara sert d'interprète à ses parents dans les situations pratiques de la vie, comme par exemple à la banque ou plus absurde et drôle, aux réunions parents-professeurs de son école.
Annie Reed, journaliste, s'émeut quand elle entend à la radio l'histoire de Sam Baldwin. Touchée par cette histoire, elle tente d'entrer en contact avec Sam, malgré l'approche de son mariage avec Walter et la distance qui sépare Seattle de Baltimore. C'est le début d'une course à l'amour.
Un court-métrage qui avait tout pour devenir culte : avec un casting composé de cinéastes 4 étoiles (où l’on rencontre Denis Podalydès, Jan Kounen, Marc Caro, Albert Dupontel, Gaspar Noé et même des acteurs comme Zinedine Soualem…) et figures de ce que les critiques américains appelleront la “New French Extremity”, il pourrait presque préfigurer le Dernières séances de Laurent Achard - à la différence près que dans le court de Bréaud, c’est un spectateur cinéphile, et non le projectionniste, qui s’inspire des films qu’il voit pour goûter à son tour au meurtre façon slasher.