"L'histoire de Pixar" emmène le public dans les coulisses d'une entreprise révolutionnaire, qui a lancé la nouvelle génération d'animation et changé à jamais le visage du cinéma. Leslie Iwerks, la cinéaste nominée aux oscars (court-métrage documentaire), raconte l'histoire captivante du démarrage de Bay Area qui a révolutionné Hollywood, avec des séquences inédites prises dans la collection de Pixar, des animations historiques tirées des archives et des récits de première main des animateurs, des directeurs de studio, des réalisateurs, des producteurs et des « voice performers ». Au milieu des années 80, un trio d'innovateurs inspirés et stimulants ont associé leurs dons dans les arts, les sciences et les affaires pour lancer une nouvelle manière de produire des dessins animés en 3D. Ed Catmull, John Lasseter et Steve Jobs ont surmonté des années de lutte créative et de pertes financières pour lancer une industrie d'animation totalement nouvelle.

Enfant du Sud-Ouest, André Téchiné a grandi dans un milieu petit-bourgeois étriqué – qu'il enverra valdinguer dans Souvenirs d'en France, son deuxième film. Sa conscience politique progressiste naît dans un internat strict, proche de celui des Roseaux sauvages. Arrivé à Paris à 20 ans, il rêve de cinéma et de liberté. Son premier long métrage, Paulina s'en va, est un échec mais il intéresse les cinéphiles. De film en film, de l'innovant Baroco au tournage orageux des Sœurs Brontë, de la complicité avec Marie-France Pisier à l'amitié avec Catherine Deneuve, André Téchiné imprime sa marque : l'art de marier le romanesque et les bouleversements sociétaux (les années sida dans Les témoins, les migrants dans Loin…) et de capter les affres d'une jeunesse qui tient une grande place dans son œuvre.

Il y a trente ans de cela, un petit film indépendant d’horreur allait donner naissance à une série horrifique de douze films. Au-délà du nombre de morts violents innombrables, la série des Vendredi 13 est devenue une icône, une référence dans le monde du cinéma d’horreur. Le créateur de talent d’effets spéciaux Tom Savini nous reçoit au travers de ce film documentaire ; ultime oeuvre pour les fans de la série à l’homme au masque de hockey le plus connu depuis trois décennies dans le milieu des films d’horreur. Ce film retrace cette épopée horrifique au travers de clips des douze films Vendredi 13, de scène inédites et dévoilées pour la première fois : plus de 80 interviews des réalisateurs, des acteurs, des cascadeurs, des artistes d’effets spéciaux, des journalistes, mais aussi la vision des fans.

Un regard approfondi sur le tournage de Fright Night (1985) et Fright Night Part 2 (1988), avec des interviews exclusives des acteurs et de l'équipe, des photos rares, des séquences en coulisses et bien plus encore.

Documentaire qui nous plonge dans la trilogie Batman de Nolan. Il s'ouvre sur l'inspiration et la vision des nouveaux films de Batman et s'achemine vers le final de Rises, qui est l'aboutissement de près d'une décennie de sang créatif, de sueur et de larmes. Candide, réfléchi et exhaustif, et composé de séquences révélatrices en coulisses, d'innombrables entrevues, de cassettes d'audition (avec Christian Bale et Cillian Murphy portant la cape et le capuchon), et d'une prise et d'un élan narratifs qui lui sont propres, il ne laisse rien à désirer.

Dans les années 1960, le cinéaste suédois Ingmar Bergman (1918-2007) a construit une maison sur l'île isolée de Fårö, sur la mer Baltique, a quitté Stockholm et est allé y vivre. A sa mort, la maison a été conservée. Un groupe très spécial de cinéphiles du monde entier se rend à Fårö à la recherche du génie et de son héritage. (Version abrégée de « Bergmans video », 2012).