Richard Wagner (1813-1883) : La Valkyrie (Die Walküre), drame lyrique en 3 actes / Peter Seiffert (Siegmund). Die Walküre (en français La Walkyrie ou La Valkyrie) est le deuxième des quatre drames lyriques qui constituent L'Anneau du Nibelung (Der Ring des Nibelungen) de Richard Wagner. La première eut lieu au théâtre national de la cour à Munich, à la demande de Louis II de Bavière (et contre la volonté de Wagner) le 26 juin 1870 sous la direction de Franz Wüllner. On retrouve dans le livret de nombreuses références aux mythologies germanique et nordique qui sont les principales sources d'inspiration du Ring. Cet opéra est considéré comme le plus lyrique et le plus humain des quatre journées de la Tétralogie. On y retrouve de nombreux thèmes, dont la célèbre chevauchée des Walkyries.
A Vienne, en novembre 1823. Au coeur de la nuit, un vieil homme égaré clame cette étonnante confession : "Pardonne, Mozart, pardonne à ton assassin !" Ce fantôme, c'est Antonio Salieri, jadis musicien réputé et compositeur officiel de la Cour. Dès l'enfance, il s'était voué tout entier au service de Dieu, s'engageant à le célébrer par sa musique, au prix d'un incessant labeur. Pour prix de ses sacrifices innombrables, il réclamait la gloire éternelle. Son talent, reconnu par l'empereur mélomane Joseph II, valut durant quelques années à Salieri les plus hautes distinctions. Mais, en 1781, un jeune homme arrive à Vienne, précédé d'une flatteuse réputation. Wolfgang Amadeus Mozart est devenu le plus grand compositeur du siècle. Réalisant la menace que représente pour lui ce surdoué arrogant dont il admire le profond génie, Salieri tente de l'évincer.
En 1963. Bébé – de son vrai prénom Frédérique – fille d’une riche famille, passe ses vacances avec ses parents et sa sœur à la pension de la famille Kellerman dans l’État de l’Oregon. Elle va être confrontée à un monde qui lui est complètement étranger, celui de la danse, et vivre une histoire d’amour avec Johnny, l’un des professeurs de danse de l’établissement, issu d’un milieu social très différent. Film à petit budget d’Émile Ardolino, il deviendra l’un des plus grand succès des années 80.
Sur un écran, ils vivent des jours heureux, sur l’autre, la tension et la mélancolie sont palpables. Aidées par une musique de Rainsford, la tendresse et la toxicité d’une relation, présentées du point de vue double et parfois contradictoire d’un couple.