Pendant la guerre du Viêt Nam, la préparation et l’entraînement d’un groupe de jeunes marines, jusqu’au terrible baptême du feu et la sanglante offensive du Tết à Hue, en 1968.

Atticus Finch, un avocat dans le sud des États-Unis des années 1930 doit défendre un homme noir accusé de viol. Le récit, raconté à travers les souvenirs et le regard de ses enfants Scout et Jem, est parsemé de détails sur la vie et les mentalités de l'époque ainsi que d'anecdotes de voisinages (dont certaines inspirées des souvenirs d'enfance de l'auteur du roman).

Jusqu'à présent, Joey avait toujours réussi à jongler entre son job secret au service de la mafia italienne et son rôle de père de famille. Mais cette fois, le pire est arrivé. Le meilleur ami de son jeune fils lui a dérobé une arme qu'il cachait dans sa cave. Au-delà du danger, ce revolver est aussi une pièce à conviction impliquant les patrons de Joey dans un assassinat explosif. Le gamin qui l'a pris semble décidé à s'en servir contre son beau-père, un névrotique appartenant à la mafia russe, qui aurait tout intérêt à ce que cette preuve tombe entre les mains de la police. L'inspecteur Rydell est d'ailleurs sur le coup, mais il est loin d'être net...

Après le décès de sa mère, Mark Evans, 12 ans, vient vivre chez des parents éloignés. Il fait ainsi la connaissance de son cousin Henry, qui derrière un visage angélique et une affection feinte, cache l'âme la plus noire et les desseins les plus perverses. Après s'être joué de Mark, il lui révèle sa nature et ses intentions de meurtre...

Caye et Zulema, prostituées dans les quartiers chauds de Madrid, ne se connaissent pas. La première se révolte contre son sort. Elle range dans une petite boîte en fer des billets de banque qu'elle économise patiemment. La seconde, immigrée dominicaine sans papiers, se sent perdue dans ce pays étranger et fait profil bas pour pouvoir nourrir son fils. Un jour, agressée par un client violent, Zulema est courageusement secourue par Caye. Les deux femmes se lient d'amitié et décident de prendre leur vie en main. Car Zulema, qui manque de confiance en elle et souffre de la solitude, espère aussi changer son destin. Autrefois, Zulema a été heureuse, peut-être le sera-t-elle à nouveau...

Une mère célibataire afro-américaine se bat pour laver son nom après avoir été accusée à tort de vendre de la drogue.

Robert Peace a grandi dans un quartier pauvre de Newark et a ensuite obtenu un diplôme de Yale grâce à une bourse. Peace a mené une double vie dans le monde universitaire, obtenant des diplômes en biophysique moléculaire et en biochimie tout en vendant de la marijuana pour aider son père qui, selon lui, était injustement emprisonné pour meurtre.

La Loi du désert : Cristine Sanders est propriétaire d'une importante firme de Wall Street. Elle vit séparée de son mari, Ben Zaïr, et a la garde de leur fils, Robert. Un jour l'enfant est enlevé. Cristine veut le retrouver, et engage Tom Burton, un mercenaire spécialiste des pays arabes. Burton forme un "commando" et parvient à récupérer Robert, après avoir affronté les redoutables guerriers de la tribu de Ben Zaïr. Mais une chasse à l'homme s'engage dans le désert sans fin, là où seuls ceux qui comprennent la loi du désert peuvent survivre.

Sweetback, le héros est au début un petit gigolo qui anime des shows pornographiques dans une maison close. Son proxénète le loue à la police pour effectuer un faux témoignage. Pendant le trajet, les agents de police tombent sur une manifestation pro-black et arrêtent un des leaders du mouvement. Alors qu’ils sont en train de passer à tabac le jeune révolutionnaire, Sweetback sort de son mutisme et tue ces policiers.Le film prend alors une autre tournure, notre héros a fait un grand pas pour sortir de cette immense spirale de passivité. La suite des évéments se résume assez bien par l’expression « Running Movie », où Sweetback est en cavale et tente d’échapper à cette interminable traque. Il va passer dans de multiples ghettos avant d’atteindre la frontière mexicaine.Le film nous présente une multitude d’éléments cycliques, du montage à la thématique, dans lesquels Sweetback passe et semble s’être libéré.

Ouvrier du bâtiment sur un chantier en banlieue parisienne, Mehdi emprunte l'autobus de la Ligne 12 pour rentrer chez lui après son travail. Souhaitant descendre alors que le véhicule est à l'arrêt dans un embouteillage, le conducteur refuse : en redémarrant, l'autobus heurte la voiture qui le précède. Le chauffeur du bus s'en prend à Mehdi qu'il tient pour responsable de l'incident, prétextant qu'il est interdit de « parler au machiniste ». Mehdi est mis en cause devant le tribunal et son avocate tente d'attirer l'attention sur les conditions de vie des travailleurs immigrés.