En s’emparant des captivantes archives cinématographiques des volcanologues Katia et Maurice Krafft, Werner Herzog célèbre avec poésie la vie, brutalement interrompue en 1991, de deux chercheurs et preneurs d’images à l’oeuvre unique.

Une équipe d'astronomes venus du monde entier a pour mission d'obtenir la première photo jamais prise d'un trou noir, inquiétant phénomène sur lequel les savants possèdent encore peu d'informations.

Aux côtés de chercheurs, de médecins spécialisés et de personnes touchées par la dyslexie, exploration d'un trouble dont les mécanismes restent encore mal compris, par la science comme par la société dans son ensemble.

Le réalisateur oscarisé Louie Psihoyos (The Cove - La baie de la honte) réunit une équipe d'artistes et d'activistes pour faire découvrir le monde méconnu des espèces en voie de disparition. Une course contre la montre a déjà commencé pour les sauver. L'équipe parcourt le globe pour infiltrer les marchés noirs et utilise une technologie de pointe pour illustrer le lien entre émissions de carbone et disparition des espèces. Racing Extinction révèle des images inédites qui changeront à jamais votre façon de voir le monde.

Adaptation de "La Tragédie de l'homme" (en hongrois "Az ember tragédiája"), une pièce de théâtre de l'auteur hongrois Imre Madách, parue en 1861. Cette pièce met en scène Adam, Ève et Lucifer, de la genèse à la fin du monde en passant par diverses périodes historiques.

De ses recherches révolutionnaires sur le clonage humain à sa chute vertigineuse, ce documentaire retrace l'histoire captivante du plus célèbre scientifique de Corée.

En 1895, Shivkar Bapuji Talpade construit et fait voler le premier avion sans pilote indien, malgré que le monde est contre lui.

Documentaire issu d'une mission qui avait pour objectif l’étude des manchots empereurs. De leur nom scientifique, Aptenodytes Forsteri, ils évoluent dans leur rookerie (colonie de manchots), laquelle compte plusieurs milliers d’individus. Le film s’attache à décrire la vie et les mœurs des palmipèdes, rendant compte de leurs parades nuptiales, de la ponte et de la naissance des poussins que le spectateur accompagne jusqu’à leur maturité. Les comportements des pingouins fascinent et amusent manifestement le réalisateur qui les suit dans leurs déplacements, leurs baignades et leurs pêches. Aucun homme n’apparaît dans le documentaire, filmé dans des conditions précaires : après l’incendie de la base de Port Martin en janvier 1952, les sept chercheurs avaient trouvé refuge dans un cabanon minuscule, où ils ont dû survivre tout un hiver. Mario Marret a également tiré un livre de cette aventure : Sept hommes chez les pingouins.

Premier film de Mario Marret, tourné lors de son arrivée à Port-Martin, Antarctique. C’est encore l’été et les phoques comme les manchots sont nombreux sur le rivage : les hommes les découvrent et les filment pour la première fois dans l’environnement antarctique. On assiste en outre à l’installation de la mission, qui restera tout l’hiver sur ce coin de terre isolé de tout. Les images sont inédites pour les spectateurs d’alors : l’Antarctique est encore une terre inconnue. Les hommes qui viennent étudier le continent et son climat vivent une aventure unique mais encore dangereuse…

Mario Marret documente la vie des scientifiques qui participent à l’exploration polaire : comment s’organise la vie quotidienne dans le camp de base ? Comment se passent les nuits, les repas, le relevé des instruments de mesure ? De cet hivernage relativement monotone dans une base polaire, Mario Marret parvient à tirer un film vivant, séduisant, parfois drôle. Les images de ces hommes affrontant pour leur tâches scientifiques des vents à plus de 100 km/heure et des températures en-dessous de -30°C captivent le spectateur. Pour subsister dans la base, et traverser l’hiver, l’équipe doit en outre accomplir diverses corvées, chasser le phoque ou se risquer dans des expéditions en traîneau. Le film obtient le premier prix du documentaire à la Biennale de Venise.