Un court documentaire expliquant le procédé utilisé par Lars von Trier pour donner à son film Dancer in the Dark son aspect peu commun.

En 2020, la chorégraphe sud-africaine Robyn Orlin a le projet d’un concert-performance réunissant la chanteuse Camille et le chœur zoulou des Phuphuma Love Minus. En restituant quelques étapes d’une création particulièrement bousculée et en accompagnant les Phuphuma de Johannesburg à leur village d’origine au Kwazulu-Natal, le film montre les fragments d’une réalité sud-africaine, une société post-apartheid profondément divisée, et éclaire les liens qu’entretient Robyn Orlin avec son pays. Des liens compliqués mais indéfectibles, constitutifs de son travail de chorégraphe.