Deuxième partie du drame historique révolutionnaire, qui reprend les événements survenus depuis le 10 août 1792 jusqu'à la fin du règne de la terreur avec l'exécution de Robespierre.
Apres vingt ans de travaux forcés pour avoir volé du pain, Jean Valjean est libéré sur parole en 1812. Sa rencontre avec un évêque qui l'héberge puis l'innocente du vol. Ce qu'il commet envers lui va lui réveler que le genre humain peut être bon. Dix ans plus tard, il dirige, sous une fausse identité, une petite fabrique dans la ville de Vigau dont il est devenu le maire. Apprecié de tous pour sa bonté et sa justice, il vit paisiblement. Mais son passé ne tarde pas à le rattraper sous les traits de l'inspecteur Javert, qui fut autrefois son geolier.
Ancien bagnard, Jean Valjean s'est réinséré dans la société sous une fausse identité. Il recueille la petite Cosette, enfant martyrisée par un couple d'aubergistes, les Thénardier. Mais la haine de l'inspecteur Javert le poursuit.
Le Marquis de Sade explore, par sa plume, le côté interdit de l'homme : les passions obscènes du corps, les pulsions sexuelles, les désirs immoraux. Au début du XIXème siècle, il est considéré comme l'être le plus perfide, le monstre le plus abject, mais aussi comme l'homme le plus libre d'esprit que le monde ait connu. Les frasques du Marquis de Sade ont eu raison de sa liberté et de sa santé mentale. Alors qu'il est au faîte de sa carrière, il se retrouve emprisonné dans l'asile de Charenton afin d'y être " soigné ". Sous le regard attentif et omniprésent de l'abbé de Coulmier, qui soutient pouvoir réhabiliter cet homme, le Marquis de Sade continue ses écrits érotiques et sulfureux. Afin de transmettre les manuscrits au grand public, il est aidé par Madeleine Leclerc, une jeune et innocente femme de chambre. Facilement influençable, elle est la personne idéale pour assouvir ses fantasmes les plus fous.
Jean Valjean (Jean Gabin), un paysan condamné à cinq ans de travaux forcés pour avoir volé un pain, sort du bagne de Toulon en 1815 après y avoir passé dix-neuf ans, sa peine initiale ayant été prolongée de 14 ans pour ses multiples tentatives d'évasion. À Digne, en raison de ce mandat encombrant et dissuasif, il ne trouve refuge pour la nuit nulle part sauf dans la demeure de Monseigneur Bienvenu Myriel (Fernand Ledoux), un évêque charitable qui lui offre un nouveau départ. Repenti, sous une autre identité, Jean Valjean va faire fortune en inventant un procédé révolutionnaire en verroterie et va œuvrer pour le bien au détriment de son propre bonheur. Mais ses ambitions humanistes sont réprimées par des hommes de lois comme Javert père et fils (Bernard Blier) ou des malfrats comme Thénardier (Bourvil), vil aubergiste de Montfermeil. En 1848, dans un Paris qui gronde sous la menace de l’insurrection, Jean Valjean doit lutter pour rester un honnête homme.
En France, sous la Terreur, des membres de l'aristocratie sont sauvés de la guillotine par les coups de main audacieux d'un individu qui se fait appeler le Mouron rouge. Agissant sous divers déguisements, il leur permet de trouver refuge sur le sol anglais. Exaspéré, Robespierre confie à l'ambassadeur Chauvelin la tâche primordiale de le démasquer. Celui-ci fait pression sur madame Blakeney, une connaissance française, mariée à un intime du Prince de Galles, afin qu'elle obtienne les renseignements décisifs...
Ancien forçat, Jean Valjean, change d'identité et devient M. Madeleine. Tandis que l'inspecteur Javert est toujours à ses trousses, il prend sous son aile la petite Cosette, martyrisée par un couple d'aubergistes, les Thénardier.
Inquiet de la nouvelle orientation imprimée à la révolution en 1793, Danton quitte sa retraite et regagne Paris. Il dénonce la "Terreur" qui règne sur la capitale et affronte son ancien compagnon de lutte, Robespierre.
Pendant la Terreur, 48 heures avant une réunion décisive de la Convention, des hommes recherchent le livre noir qui contient les noms des opposants supposés que Robespierre veut guillotiner.
Évocation de la vie de la reine d'origine autrichienne, épouse mal-aimée de Louis XVI, guillotinée en 1793. Au sortir de l'adolescence, une jeune fille découvre un monde hostile et codifié, un univers frivole où chacun observe et juge l'autre sans aménité. Mariée à un homme maladroit qui la délaisse, elle est rapidement lassée par les devoirs de représentation qu'on lui impose. Elle s'évade dans l'ivresse de la fête et les plaisirs des sens pour réinventer un monde à elle. Y a-t-il un prix à payer à chercher le bonheur que certains vous refusent ?
Sous la Révolution, la vie périlleuse de Grace Elliott, une belle Anglaise royaliste résidant en France, et ses relations, à la fois tendres et orageuses, avec le duc d'Orléans, cousin de Louis XVI, acquis aux idées révolutionnaires. Elle le persuade de l'aider à sauver un proscrit, mais ne parvient pas à le dissuader de voter la mort du roi.
Une femme enfermée à la prison de la Conciergerie, dans la plus lugubre des cellules. Dans ce cachot, deux gendarmes derrière un paravent. Cette femme a trente-sept ans, mais déjà ses cheveux sont blancs. Elle est malade, affligée de terribles hémorragies. Cette femme se nomme Marie-Antoinette de Lorraine, d'Autriche. Voici les quatre derniers jours de Marie-Antoinette.
Jean Valjean tente de voler une miche de pain pour nourrir ses petits-enfants, mais il est immédiatement rattrapé par la police et condamné à 5 ans de prison, qui deviennent 18 ans en raison de ses nombreuses tentatives d'évasion. Ayant enfin purgé sa peine, il est libéré mais rejeté par tous. Seule la bonté de l'évêque de Digne, à qui il avait volé deux candélabres, le convainc de changer de vie. Il se construit ensuite une nouvelle identité en tant que M. Madeleine et devient un industriel prospère. Mais pendant toutes ces années, l'inspecteur Javert n'a jamais cessé de le rechercher.
Une jeune femme est prise dans le tourbillon de l'Histoire dans les années qui précèdent la Révolution française. Élevée par son père comme un garçon, nommée officier dans la garde personnelle de la reine, elle est amenée, par son amour pour un ami d'enfance, à se ranger du côté du peuple.
Au XVIIIe siècle, Constance Allard, benjamine d'une famille de petite noblesse, vit modestement de ses terres, en Vendée. Le jour de ses 18 ans, elle rencontre François-Denis Brilhac, un officier de marine, de dix ans son aîné. Un amour fou naît entre eux dès les premiers instants. Lors de leurs fiançailles, au cours d'une partie de chasse au faucon, Constance tombe dans un ravin avec son cheval. La jeune femme perd l'usage de ses jambes. Infirme, elle refuse de revoir François-Denis. Les années passent. Après la Révolution, la France, devenue république, entre en guerre. Constance, désormais clouée à son fauteuil roulant, vit les événements de loin, jusqu'au jour où la Vendée se soulève. François-Denis devient un des chefs militaires de la rébellion...