Tom entre par la gauche de la scène en cravate blanche et queue de pie, se met au piano, obtient l' attention de l'orchestre qui se prépare dans la fosse en dessous de lui et commence à jouer la "Rhapsodie hongroise» de Liszt. À l'insu de Tom et du public, Jerry est endormi en travers de plusieurs des touches de haute note à l'intérieur de l'instrument, de sorte que le jeu de Tom finit par le réveiller. Jerry est matraqué par les marteaux, il rebondi dans les fils métalliques, et pressé par Tom lorsque le chat tente de jouer le concerto en évitant Jerry. Les cabrioles défensives de Jerry s'ajoutent au brio du programme et répondent à Tom avec une habile attaque musical de Jerry. À la fin de ce concerto, le duo laisse un seul animal debout pour les applaudissements du public.

À Paris, après avoir remporté la compétition internationale de musique Platini, Chiaki est engagé comme chef de l'orchestre Roux-Marlet. Cependant, il est très vite choqué par leur manque de motivation. Pendant ce temps, Nodame, Frank, Tanya et Kuroki s'entraînent durement au Conservatoire de Paris afin de préparer leurs examens finaux. Chiaki appelle par conséquent à Nodame afin qu'elle effectue quelques remplacements au piano pour lui, ce qui ne manque pas de la décourager. Un sentiment qui ne fait que s'accroître tandis que Rui Son prend une importance au sein du Conservatoire suite à une coïncidence inattendue. Alors que la date de la prochaine performance de l'orchestre Roux-Marlet approche à grands pas, Chiaki ne se doute pas du terrible destin qui l'attend.

Ce film animé, qui met en scène Elmer Fudd, Porky Pig, Bugs Bunny et Daffy Duck, est une parodie de Fantasia (1940) de Walt Disney. Il se compose de deux volets illustrant deux des valses les plus connues de Johann Strauss II : Contes de la forêt viennoise et Le Beau Danube bleu. Dans la première séquence, on y voit Porky Pig chasser Bugs Bunny avec son chien ; dans la seconde, on suit les péripéties d'un jeune Daffy Duck, une femelle cygne et ses petits contre un vautour.

Échoué dans le désert à la suite d'une panne d'avion, un pilote y fait connaissance avec un petit prince venu d'une autre planète.

1779. Ludwig van Beethoven, huit ans, surnommé « Louis », est déjà connu comme un prodige de la musique. Il apprend à suivre sa propre voie, au grand désarroi de son entourage. Quelques années plus tard, il rencontre Mozart en période de bouleversements politiques. Le génie non conventionnel et la Révolution française allument un feu dans le cœur de Louis ; il ne veut pas servir un maître – seulement les arts. Face aux tragédies familiales et aux amours non partagés, il abandonne presque. Cependant, Louis se rend à Vienne pour étudier auprès de Haydn en 1792, et le reste appartient à l'histoire. Qui était cet homme dont la musique a depuis touché d’innombrables cœurs et esprits ? A la fin de sa vie, le maître se retrouve isolé par la perte des proches et de l'audition. Mais il était sûrement en avance sur son temps. - Téléfilm produit à l'occasion du 250e anniversaire de la naissance de Beethoven.

Élève de Leonard Bernstein et de Herbert von Karajan, le Japonais Seiji Ozawa est l’une des dernières légendes vivantes de la direction d’orchestre. Nourri par un entretien exceptionnel, le portrait d’un maestro exigeant et pédagogue.

Né en 1770 à Bonn, Ludwig van Beethoven est initié à la musique dès ses 5 ans par son père chanteur. "Le nouveau Mozart", comme le présente son maître Christian Gottlob Neefe, est repéré par Haydn en 1790 grâce à sa cantate funèbre en l’honneur de l’empereur Joseph II. Deux ans plus tard, le jeune humaniste quitte la cour éclairée de Bonn, proche des idées révolutionnaires, pour se former à Vienne auprès de celui qu’il surnommera "Papa Haydn". Pianiste virtuose, Beethoven est contraint de se concentrer sur sa carrière de compositeur: en 1801, alors qu’il vient d’achever sa première symphonie et ses six premiers quatuors à cordes, le génie allemand est rattrapé par le "démon envieux" de la surdité.