L'humble charpentier Pepe "El Toro" vit les joies et les peines de la pauvreté avec sa fille Chachita, sa mère paralysée et sa petite amie Celia "La Chorreada". Aidé par un groupe haut en couleur de voisins et d'amis, Pepe et sa famille vont mener une lutte ardue contre l'injustice lorsqu'il est accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis.

Cinq ans après la fermeture du chantier naval et la lutte sociale contre les licenciements, Santa, José et autres chômeurs du port industriel de Vigo en Galice vivent au jour le jour. Dans la rue, sur le bac ou au bar La Naval (tenu par un ancien collègue), ils discutent de tout et de rien, partageant angoisses et humiliations, mais aussi plaisanteries et illusions. Pour Santa, la dignité est la seule chose qu'il ne cèdera pas aux patrons, aux banquiers ou à la justice, qui le poursuit pour un lampadaire détruit lors des grèves. (Wikipedia)

Antonio est écrivain. Il est tétraplégique aussi. Pour lui, jouir d’une sexualité épanouie est un choix vital, voire politique. Tout le monde devrait y avoir accès mais personne ne veut s'en mêler. Mais c'est un activiste. Entre l'hostilité de son aide soignante, l'enthousiasme d'une prostituée militante et la perplexité de son assistant de vie, Antonio met en place un lieu d’assistance sexuelle chez lui.

Andrej, qui est pilote de guerre, est d’un naturel combatif et décidé. Juraj, son frère, est un artiste sans cesse agité par le doute sur lui-même et sur sa vie. Andrej rend visite à Juraj et fait la connaissance de Jana, son amie. En plaisantant, il propose à son frère de lui prendre Jana.