Un soir, au détour d’une ruelle, un homme sans histoire surprend deux jeunes qui viennent de commettre un délit. Dans la panique, les adolescents prennent en otage ce témoin gênant et l’entraînent dans leur fuite. Débute alors pour deux générations que tout sépare, un voyage intérieur qui marquera les trois âmes à jamais.

L'action se déroule en 1944, à Montauban. Le chirurgien Julien Dandieu y mène une vie paisible avec sa femme, Clara, et leur fille Florence. Cependant, l'invasion allemande ne peut le laisser indifférent : préférant les savoir éloignées des tourments de cette guerre, Julien demande à son ami François de conduire Clara et Florence à la campagne, où cette famille possède un château, véritable forteresse médiévale qui surplombe un village. Une semaine plus tard, ne supportant plus l'absence des siens, Julien rejoint sa famille pour découvrir, avec effroi, que les Allemands ont déjà semé la terreur dans le village.

Au XIXe siècle, Jonathan Harker se rend en Transylvanie pour vendre un manoir au comte Dracula. Sur la route, les villageois lui conseillent de rebrousser chemin mais le jeune homme refuse. Au moment de la signature, Dracula aperçoit un portrait de la fiancée de Harker, identique en tous points à sa défunte épouse. Jonathan est fait prisonnier et le comte se rend à Londres pour retrouver la jeune femme.

David Martinaud est amoureux de Lise, une femme mariée. Lors d'un accident, il tue Gérard, son mari. Voyant qu'elle lui échappe, il sombre dans une folie meurtrière...

Au Moyen Âge, en Italie, le prince Prospero, seigneur des lieux humilie ses paysans en les terrorisant, en brûlant leurs maisons et en faisant prisonnier Francesca, une jeune paysanne avec son père et son petit ami. Alors que le convoi de Prospero s’apprête à repartir vers son château, ce dernier à la révélation que la « mort rouge » s’abat sur la région. Alors il invite tous les nobles des environs à s’abriter dans son château à l’intérieur duquel il les diverti et donne un grand bal masqué. Prospero tente de courtiser Francesca, mais Juliana, l’actuelle compagne de Prospero voit ce projet d’un mauvais œil. Voulant l'éloigner elle organise leur fuite, mais l'évasion est un échec et Propero se vengera cruellement. Alors que la fête bat son plein, Prospero se retrouve alors devant un étrange personnage masqué : la Mort Rouge.

À l'occasion d'une partie de chasse, un groupe d'amis se réunit dans le château de la famille Vogelöd. Mais l'arrivée du comte Johann Oetsch, soupçonné du meurtre de son frère survenu trois ans plus tôt, vient troubler l'harmonie du groupe. La tension est à son comble lorsqu'arrivent enfin la veuve du frère de Oetsch et son nouvel époux, le baron Safferstätt. Préférant dans un premier temps s’en aller, la baronne se ravise en apprenant l’arrivée prochaine du Père Pharamond - moine et parent de son premier mari - décidant de se confesser à lui. Le comte Oetsch, bien décidé à découvrir la vérité et ainsi prouver son innocence, profite alors du fait qu’aucune des personnes présentes au château ne connaisse le Père Pharamond pour se faire passer pour celui-ci et écouter la confession de la baronne.

Le destin... Si Robert Montillon (Daniel Gélin) n'avait pas rencontré Éric Freminger (Peter van Eyck), il continuerait à faire le joli cœur entre Cannes et Monte-Carlo, à vivre sa vie de bohème désargentée. Mais il rencontra Freminger, un homme d'affaires qui sentait le fric, le désespoir et surout le whisky. Trop ivre pour conduire, Robert décide de le raccompagner chez lui. Le soir même, il devient son secrétaire-chauffeur et rencontre Hélène (Michèle Morgan), sa femme, une beauté froide et cruelle. Freminger leur annonce qu'il va se tirer une balle dans le tête et précise, cynique, que l'assurance vie de 300 milions ne paie pas en cas de suicide. Il faudra donc maquiller son suicide en crime...

En France, en moyenne, une femme est tuée par son compagnon ou ex-compagnon tous les deux jours et demi, soit cent vingt-cinq féminicides par an, officiellement. Elles sont tuées par arme blanche, par arme à feu, étouffées, battues ou torturées à mort, brûlées vives, noyées, défenestrées. Sarah Barukh a passé 10 ans avec la peur au ventre et les menaces quotidiennes. Refugiée chez ses parents, elle a réalisé que beaucoup de femmes n'avaient pas eu sa chance. Elle est vivante, quand tant d'autres sont mortes. À travers son histoire, mais aussi celles de toutes ces disparues, elle explore les causes de ce que l'ONU a récemment qualifié de "pandémie de l'ombre" et propose des solutions concrètes.