En 1930, deux pères : Michael Sullivan, un tueur professionnel au service de la mafia irlandaise dans le Chicago de la Dépression, et Mr. John Rooney, son patron et mentor, qui l'a élevé comme son fils. Deux fils : Michael Sullivan junior et Connor Rooney, qui font chacun des efforts désespérés pour s'attirer l'estime et l'amour de leurs géniteurs. La jalousie et l'esprit de compétition les plongent dans une spirale de violence aveugle dont les premières victimes sont la femme de Sullivan et son fils cadet Peter. Un long voyage commence alors pour Michael Sullivan et son fils survivant. Au bout de cette route, la promesse d'une vengeance et l'espoir de conjurer l'enfer. Et peut-être l'aube d'un sentiment nouveau entre un père et son fils.

Une réflexion sur le désir à travers les amours compliquées d'un metteur en scene et de sa soeur qui, il y a vingt ans, était un homme.

À l'époque où il enseignait la philosophie, Carter Chambers invitait chaque année ses étudiants à dresser ce qu'il appelait une " bucket list " - la liste de tout ce que ces jeunes rêvaient de faire, de voir ou de tenter avant de " passer l'arme à gauche ". Oubliant d'appliquer ce sage principe à lui-même, Carter laissa passer le temps. Se sentant piégé par une multitude de contraintes et d'obligations familiales, il dut se contenter pendant quatre décennies d'un obscur emploi de mécanicien. Aujourd'hui, sa " bucket list " n'est plus qu'un dérisoire exercice mental, une recension d'occasions manquées et de regrets voilés. Pendant ce temps, le multimillionnaire Edward Cole bâtissait un empire et consacrait toute son énergie à amasser encore plus d'argent, sans même s'accorder le temps de savourer ses acquis.

Au cours de l'été 1905, Andrew et sa femme reçoivent leurs amis dans une maison de campagne. Le temps d'un week-end, attirances et fantasmes sexuels vont briser ou renforcer la cohésion de ces couples.

C'est l'été. Dans la belle maison familiale Frédéric, Adrienne, Jérémie et leurs enfants fêtent les 75 ans de leur mère, Hélène Berthier, qui a consacré toute son existence à la postérité de l'oeuvre de l'oncle, le peintre Paul Berthier. La disparition soudaine d'Hélène, quelques mois plus tard, les obligera à se confronter avec les encombrants objets du passé. Cette famille, à l'apparence si heureuse, va-t-elle pouvoir rester unie ?

Trois femmes que rien ne semble reunir vont se rencontrer, se soutenir mutuellement et finiront par former une vraie famille. Insatisfaite de sa carrière a New York, Robin décide d'aller s'installer a San Diego. Pour minimiser les frais de son voyage, elle part avec Jane, une jeune femme cynique tout juste licenciée du club ou elle chantait. Chemin faisant, l'extravagant duo s'arrête a Pittsburgh pour saluer Holly, une copine de Jane quelque peu excentrique.

Stockholm, entre zones industrielles et terrains vagues, Sebastian, un garçon à la beauté troublante et androgyne, se met en danger en ayant des aventures sexuelles avec des inconnus. Alors que tout est à deux doigts de déraper, le téméraire Andreas apparaît et le sauve in extremis. Entre ces deux fortes personnalités, c'est le coup de foudre. Mais cette relation intense et soudaine va être des plus électriques...

Une villa hollywoodienne, baignant dans la chaleur moite d’une nuit d’été. Le call-boy donne à son client l’illusion pour laquelle il est payé. « J’aurais un rôle pour toi » déclare le client, juste avant un abrupt retournement de situation.

En 1971, le jeune Augusten n'a que 6 ans et sa vie n'est pas simple. Sa mère, Deirdre, est une poétesse psychotique que personne n'a jamais lue mais qui est convaincue d'être célèbre. Quant à son père, Norman, un prof de maths alcoolique, il a depuis longtemps renoncé à sauver son couple ou à s'occuper de son fils... La thérapie que Deirdre entame avec le Dr Finch, un psychiatre aux méthodes peu orthodoxes, ne va rien arranger, et bientôt les parents d'Augusten se séparent. Pour l'enfant, le pire ne sera pas d'être abandonné par sa mère, mais d'être recueilli par le Dr Finch. Il découvre alors une famille étrange, déstabilisante et redoutable. Mrs Finch vit totalement repliée sur elle-même. Une de ses filles, Hope, ne jure que par la Bible pendant que l'autre, Natalie, exprime sa rébellion à travers le disco...

Joao a de longues conversations avec des amis, des étrangers et lui-même. Par exemple avec sa meilleure amie Irène, qui ne peut laisser partir les souvenirs de son ex ; et le garçon qu’il rencontre dans le métro, avec qui il veut faire l'amour. Outre la vie et l'amour, le processus de création est un thème récurrent dans les conversations, dans les meilleures traditions de cinéastes comme Éric Rohmer ou Hong Sang-soo. Pièce par pièce, les rencontres, les conversations et les monologues ont une grande influence sur Joao, qui lutte littéralement avec son attitude face à la vie.