Il y a 70 ans, le 14 juin 1940, la Wehrmacht entrait, triomphale, dans Paris. La capitale, qui s'était déclarée «ville ouverte» (sans résistance), avait été désertée par le gouvernement français et les deux tiers des trois millions d'habitants ! Cet anniversaire est l'occasion pour la télévision de revenir sur Juin 1940, sans doute le mois le plus terrible de l'Histoire de France.

À l'époque coloniale, en Inde, les anglais enlèvent une jeune fille d'une communauté tribale. Mais ce qu'ils ignorent, c'est que cette tribu a un protecteur : Bheem. Peut-être que soleil ne se couche jamais sur l'empire britannique. Mais la force est du coté des justes.

Quand les nazis occupent un village albanais, après le retrait de l’armée italienne pendant la deuxième guerre mondiale, Tomka et ses amis sont furieux - parce que les Allemands mettent en place le camp militaire sur leur terrain de football. Les partisans locaux recrutent les garçons pour espionner les envahisseurs, et pour les aider à établir une embuscade.

Dans les montagnes sacrées de Zu, un monstre aux pouvoirs immenses tente de renaître. De courageux chevaliers, avec l'appui d'un jeune éclaireur, ont 49 jours pour sauver le monde.

En 1797, dans le Haut-Pays, les « idées nouvelles » arrivent jusque dans la paroisse, dérangeant les tenants de la tradition et surtout l'idylle amoureuse entre Félicie, la fille du modéré Jean Bozon, et David, le fils du réactionnaire Josias-Emmanuel Aviolat. De jeunes excités mettent le feu à la maison de Pierre Ansermoz, un ancien soldat d'un régiment français. David lui ayant porté secours, les deux hommes s'enfuient et s'enrôlent dans les troupes du bas, sans grande conviction pour David. Dans la bataille du col de Croux, le vieux Josias tuera son propre fils et Félicie devenue folle, va passer le reste de sa vie à chercher son amoureux.

Porté par un environnement sonore immersif qui nous plongent dans la réalité et les perceptions de personnes résilientes et inspirantes, ce documentaire interroge à la fois notre propre aveuglement face à la violence et à la souffrance de notre époque — et ce, malgré une surabondance d’images — et soulève l’urgence de prêter l’oreille pour entendre ces récits.