Venise, au 18ème siècle. A l'Institut Sant'Ignazio, orphelinat et conservatoire pour jeunes filles, tout le monde s'agite en vue de la visite imminente du nouveau Pape et du grand concert qui sera donné en son honneur. Teresa, jeune domestique silencieuse et solitaire, fait alors une découverte exceptionnelle qui va révolutionner la vie du conservatoire : un piano-forte.

Sameer Rafilini (Salman Khan), de retour en Inde après s’être installé en Italie, vient pour parfaire son enseignement musical et suivre des cours de chant auprès du maître Pundit Darbar (Vikram Gokhale). Celui-ci l’accueille dans sa maison et le loge dans la chambre de sa fille, Nandini (Aishwarya Rai), ce qui contrarie beaucoup celle-ci. Sameer et Nandini finissent néanmoins par tomber amoureux l’un de l’autre. Hélas, les projets de Pundit Darbar pour sa fille sont tout autres : il souhaite marier celle-ci avec Vanraj (Ajay Devgan), également amoureux de Nandini. Pour cela, il fait promettre à Sameer, redevable de son enseignement musical, de quitter l’Inde et d’oublier Nandini. Sameer, contraint, accepte et repart pour l’Italie. C’est donc le cœur brisé que Nandini se marie avec Vanraj qu’elle déteste…

Dans un château en Bavière, Adolph Schwartz, sosie d'Hitler, se fait dévorer par un piranha jeté dans son bain. Pendant ce temps, aux États-Unis, en pleine campagne, Margo Winchester fait son jogging un sein à l'air. Un automobiliste l'attire dans sa voiture, l'assomme et la viole. À son réveil, elle le tue, puis se fait engager comme serveuse par Alice, patronne de bar dans le bled voisin. Les formes avantageuses de Margo ne tardent pas à attirer une foule de clients mâles…

Lavonia, une bombe sexuelle, n'est pas satisfaite par Lamar, son mari. Elle se console alors auprès du musculeux éboueur, Mr. Peterbuilt tandis que Junkyard Sal, une jeune femme noire phénoménale, oblige Lamar à lui faire l'amour. Sœur Eufaula Roop y mettra bon ordre en administrant à Lamar le traitement évangélique de la « baignoire de la Joie ».

La femme de Paul, propriétaire d’un bar où s’exhibent des danseuses topless, se refuse à lui alors qu’il revient de chez sa maîtresse, une tenancière de maison close. Excédé par son attitude il la prend de force... Mais alors qu’il dort, celle-ci, ruminant sa vengeance, décide d’accepter la proposition de Ray, l’associé de son mari et de danser dans son bar. A la fermeture, Ray entraîne Kelley à son domicile et la séduit...

Eve est vêtue d'un long imperméable et suit le bricoleur dans ses rondes. Elle regarde des rodages humoristiques en nettoyant des toilettes, en jetant de la ferraille à la décharge, en nettoyant les fenêtres, en livrant un arbre, en montant des poteaux et en restant un gentleman tout en essayant d'aider un auto-stoppeur seins nus. Mais pourquoi l'observe-t-elle si attentivement? Écrit par Ed Sutton

Deux étudiants, Zack et Brian, entendent parler d'une grande soirée où seront présentes les filles les plus belles et les moins farouches de la région. Ils prennent aussitôt la route de Malibu, laissant leurs petites amies Ashley et Monica derrière eux. En chemin, ils subissent problèmes de voiture et autres désagréments, perdant du temps mais trouvant quelques occasions de s'amuser en séduisant deux charmantes policières et une autostoppeuse. Mais Ashley et Monica choisissent finalement de les rejoindre. A leur tour, sur la route, elles multiplient les aventures avec les jeunes hommes dont elles croisent le chemin. Tous profitent au maximum de leur escapade...

Capté les 11 et 12 décembre 2008, il propose 24 titres extraits du répertoire de l'artiste, pour une durée de plus de deux heures. Un plat de résistance consistant donc, et qui débute de manière surprenante par la délicate et intimiste « Samedi soir sur la terre », qui préfigure pourtant du voyage dans lequel Cabrel va emmener son public. Car c'est à une escapade amoureuse que l'artiste convie les spectateurs du Casino de Paris. « Ces chansons, ce sont toutes des chansons d'amour », dit-il a plusieurs reprises durant le concert. Cette délicate intimité, cette proximité avec le public et cette fusion quasi-sensuelle entre l'artiste et ses musiciens charismatiques et talentueux offre à l'ensemble une ambiance envoûtante et éthérée qui plane sur le concert. Il faut dire l'album Des Roses et des Orties, interprété dans son intégralité ou presque (seules « Des gens formidables » et « Elle m'appartient » ne sont pas jouées)