Dans les années 1940, alors que la Corée était sous occupation japonaise, les Coréens sont interdits de parler leur propre langue. Pan-soo a été emprisonné à plusieurs reprises sans véritable raison. Il ne sait ni lire ni écrire la langue coréenne. Un jour, il vole le sac de Jeong-hwan pour payer les frais de scolarité de son fils. Jeong-hwan est le fils d'une riche famille coréenne pro-japonaise et est cependant un représentant de la Société de la langue coréenne. En rencontrant Jeong-hwan, la vie de Pan-soo change rapidement. Ils travaillent ensemble pour publier un dictionnaire de la langue coréenne.

Visite touristique et documentaire le long de la Riviera L'exotisme, les couleurs du tourisme, celle du Carnaval et de l’Éden. Une île. Des parasols qui se ferment à la fin sur une jolie chanson de Delerue.

Une petite fille du centre de la France, placée dans un orphelinat avec sa soeur, et qui attend en vain tous les dimanches que son père vienne les chercher. Une chanteuse de beuglant à la voix trop faible, qui affronte un public de soldats éméchés. Une petite couturière destinée à refaire des ourlets dans l'arrière-boutique d'un tailleur de province. Une apprentie-courtisane au corps trop maigre, qui trouve refuge chez son protecteur Etienne Balsan, parmi les cocottes et les fêtards. Une amoureuse qui sait qu'elle ne sera «la femme de personne», pas même celle de Boy Capel, l'homme qui pourtant l'aimait aussi. Une rebelle que les conventions de l'époque empêchent de respirer, et qui s'habille avec les chemises de ses amants. C'est l'histoire de Coco Chanel, qui incarna la femme moderne avant de l'inventer.