Au printemps 2016, la cinéaste Sofia Coppola dévoilait sa première mise en scène lyrique à l'Opéra de Rome : une Traviata sur son trente et un, avec des costumes conçus par la maison de couture Valentino. Après la diffusion du spectacle dirigé par le jeune chef Jader Bignamini, retour sur sa genèse en compagnie de Sofia Coppola et du couturier Valentino. L'histoire : un hôtel parisien au XIXe siècle. Oubliant la toux qui la consume, la demi-mondaine Violetta donne une soirée. Ce soir-là, son ami Gaston lui présente Alfredo Germont, un jeune homme de bonne famille qui lui déclare bientôt sa flamme. Violetta, qui s'était juré de ne plus jamais tomber amoureuse, succombe malgré tout.
Jeune cadre falot, Goda apprend un jour en rentrant de son travail que son amie s'est suicidée à l'aide d'un revolver. Errant ivre mort dans un quartier mal famé de Tokyo, il rencontre Chistato, jeune femme énigmatique attirée par la mort. Elle est membre d'un gang qui humilie Goda et le passe à tabac. Pour lui, l'obtention d'un revolver devient alors une véritable obsession. Mais ses tentatives maladroites ne lui apportent qu'humiliations et coups, jusqu'au jour où le hasard met entre ses mains un revolver.
Matt Travis est beau, populaire et le meilleur nageur de compétition de son école, c'est pourquoi tout le monde est choqué quand il se suicide inexplicablement. Au fur et à mesure de l'année suivante qui se déroule, chaque membre de sa famille lutte pour se remettre de la tragédie avec des résultats mitigés.
De grands airs d'opéra vus par dix réalisateurs sur des musiques de Charpentier, Korngold, Leoncavallo, Lully, Puccini, Rameau, Verdi, Wagner. L'image est parfois sans rapport avec le thème de l'opéra, d'autres fois plus proche.