Juifs et communistes, émigrés en France dans les années 1930, ils ont été les principaux acteurs de la résistance urbaine menée à Paris contre l'occupation allemande. En 1985, pour son premier long métrage documentaire, Mosco Levi Boucault recueillait les bouleversants témoignages de ces ex-"terroristes" oubliés par la France.

C’est un épisode héroïque et méconnu de la Seconde Guerre mondiale. Hiver 43 : De Gaulle envoie secrètement ses deux maîtres espions dans Paris occupé. Il confie au colonel Passy et à Pierre Brossolette, numéro 1 et 2 du BCRA, ancêtre de la DGSE, la mission cruciale d’unifier les réseaux de résistants de la zone Nord. Farouches et endurcis par trois années d’occupation, les soldats de l’ombre seront placés sous l’autorité du Général. Cette mission, historique, est militaire : il faut préparer le Débarquement. Mais elle est aussi politique : De Gaulle doit prouver sa légitimité de chef de la Résistance auprès de Churchill et Roosevelt. « Les Espions du général » est une plongée inédite dans le Paris de l’Occupation.

Située à près de 80 kilomètres au Nord de Berlin, en Allemagne, l'ancienne commune Ravensbrück a abrité, entre 1939 et 1945, une prison devenue camp de concentration conçu spécifiquement pour les femmes. Il fut édifié sur ordre d'Heinreich Himmler, haut dignitaire du IIIème Reich et chef de la SS. Sur les plus de 130000 personnes qui y furent déportées, près de 90000 n'en revinrent jamais. S'appuyant sur des témoins, experts internationaux et images de synthèse, le document dévoile les atrocités commises à Ravensbrück.

Comment était l'Allemagne lorsque son peuple est entré dans le cauchemar de la Seconde Guerre mondiale ? Le désespoir et la peur conduisent une population affamée à suivre l'appel effrayant d'un seul homme pour dominer le monde. Une véritable histoire d'horreur, un conte sinistre de violence et de tromperie, qui se déroule de 1919 à 1934. (Entièrement composé d'images d'archives restaurées et colorisées).

Pendant la Seconde Guerre mondiale, grâce à l'Osé l'Œuvre de Secours aux Enfants, le château de Montintin en Haute-Vienne, propriété de la famille de Neuville, a accueilli et protégé des enfants juifs. Jacqueline Guionnaux, épouse Bayle, était employée au château en tant que lingère et a contribué à la sauvegarde de ces jeunes. Les collégiens de Saint-Germain-les-Belles leur dédient ce documentaire.